ASSE : c’est la semaine de tous les dangers !

ASSE : c'est la semaine de tous les dangers !

Relancé par sa victoire aux forceps à Nîmes, l’ASSE aborde ses chocs face à Wolfsbourg et Lyon avec un peu plus de confiance… Mais un tournant décisif de la saison se joue cette semaine.

L’espace de quelques heures, entre le succès surprise de Dijon à Reims (2-1) et le but de Mathieu Debuchy aux Costières, l’AS Saint-Etienne s’est retrouvée lanterne rouge. Une situation que le club ligérien n’avait plus connu depuis le 15 août 2009 (2eme) et sa défaite sur la pelouse du Toulouse FC (1-3) et jamais aussi tard dans la saison depuis l’exercice 2008-2009 (dernier à la 15e journée). Autant dire qu’il y avait déjà urgence au moment de se rendre à Nîmes. Face aux Crocos, la manière importait peu.

D’ordinaire prompt à faire le jeu, Ghislain Printant avait choisi de laisser le ballon à son adversaire du jour : « On a été mis sur le reculoir, mais on a souffert volontairement. On avait décidé de laisser le ballon à Nîmes. J’en avais marre de faire le jeu, d’être contré et de devoir au final régler la note », assène le technicien qui avait mis en place le plan de jeu pour subir : « Ce n’est pas le match le plus abouti de Saint-Etienne. Ce n’est pas le football que j’apprécie le plus, mais on gagne. On était très malade. On s’est comporté comme une équipe qui devait faire tourner le compteur points ». A l’orée d’une semaine décisive qui ne changera rien à l’avenir de l’entraîneur des Verts, l’ASSE occupe la 19e place au classement de Ligue 1…ex-aequo avec le 15e (Nîmes) mais avec la différence de buts la moins favorable du troupeau.

Wolfsbourg, des « invincibles » à faire chuter

Mais cette semaine, Sainté se retrouve face à deux gros chocs en l’espace de quelques jours avant une trêve internationale, qui, quoi qu’il arrive, fera beaucoup de bien aux organismes et aux têtes. Jeudi soir (18h55), les coéquipiers de Loïc Perrin reçoivent Wolfsbourg pour continuer d’exister dans la phase de poule de la Ligue Europa. Battu à Gand face à son concurrent direct lors du match inaugural (2-3), les Verts n’ont pas vraiment le choix : il leur faudra faire le carton plein à Geoffroy-Guichard pour espérer arracher un 16e de finale.

Faire chuter le club de Josuha Guilavogui ne sera pas chose aisée. Les « Loups » – 7e de Bundesliga – restent sur une série de dix matches sans défaite en compétition officielle depuis le 11 mai dernier. Après un enchaînement de quatre matches nuls consécutifs en championnat, ils ont d’ailleurs renoué avec le succès ce week-end à Mayence (0-1). Les Foréziens n’ayant pas encore gagné à domicile cette saison, la tâche s’annonce rude …

Un derby historique à plus d’un titre

Mais le plus gros match de la semaine (et de la saison?) est clairement le choc de dimanche soir (21 heures) face à l’Olympique Lyonnais. Il y a quelques mois, l’affiche se jouait tout en haut du tableau. Dans une lutte pour la 3e place qualificative en Ligue des Champions. Aujourd’hui, Lyon, seulement 11e du classement avec 9 points, souffre autant (sinon plus) que Sainté. Incapable de s’imposer depuis le 16 août et sa promenade contre Angers (6-0), les Gones restaient sur sept matches sans victoire (4 nuls, 3 défaites) avant le déplacement sur la pelouse de Leipzig en Ligue des Champions et le tandem Sylvinho – Juninho se retrouvait déjà dans l’oeil du cyclone.

Dimanche soir, ce sera malheur au vaincu. Un match à la vie à la mort qui rajoute forcément beaucoup de crispation autour de ce 119e derby. Au delà de l’enjeu immédiat, il y a aussi une dimension historique à cet affrontement de 2019. En effet, en cas de victoire rhodanienne dans le Chaudron, l’OL reviendrait à la hauteur de l’ASSE au nombre de victoires (42 contre 43 actuellement). Une première depuis la saison 1956 – 1957, date de la bascule qui a transformé Sainté « en locomotive » et Lyon « en wagons ». Aux coéquipiers de Wahbi Khazri de ne pas faire injure à leurs illustres ainés…

Alexandre CORBOZ

ASSE : Ghislain Printant a commis une erreur fatale aux yeux des dirigeants

Ghislain Printant pourrait ne pas passer la semaine à l’ASSE. L’entraîneur des Verts est sur la sellette depuis une récente causerie non digérée par ses dirigeants. 

L’avenir de Ghislain Printant à la tête des Verts ne tient qu’à un fil. L’actuel entraîneur de l’ASSE ne sait même pas s’il peut commencer à préparer le derby très attendu de dimanche contre l’OL (21h).

Malgré le soutien de ses joueurs, Printant pourrait en effet être remplacé par Claude Puel. Le technicien de 58 ans doit rencontrer Bernard Caiazzo et Roland Romeyer dans le courant de cette semaine.

La victoire à Nîmes (1-0) pourrait donc ne pas suffire aux yeux des dirigeants de l’ASSE. Ces derniers se seraient en fait rendus compte que Printant n’avait pas l’étoffe d’un coach des Verts… le 22 septembre à Angers.

« La cassure est survenue à la mi-temps du match à Angers, explique L’Équipe ce lundi. La causerie de Printant a fortement déplu à ses dirigeants. Plutôt que d’apporter les inévitables corrections d’ordre tactique, il aurait usé de ressorts psychologiques, parlant notamment à ses joueurs de leur chance d’exercer le plus beau métier du monde. » À ce moment-là, les Verts menaient 1-0. Au coup de sifflet final, ils avaient perdu 1-4. Suffisant pour oublier tout le positif apporté par Printant au côté de Jean-Louis Gasset ?

Julien Pérez

ASSE : il y aurait trois noms pour la succession de Ghislain Printant

ASSE : il y aurait trois noms pour la succession de Ghislain Printant

Alors que But! évoquait, dès jeudi, la piste Claude Puel à l’ASSE, le quotidien l’Equipe donne ce soir deux autres noms pour succéder à Ghislain Printant.

Ghislain Printant, l’entraîneur de l’ASSE, a sans doute vécu, ce jour à Nîmes, sa seconde et dernière victoire de la saison. Car il est plus que probable qu’avant le match de Ligue Europa, jeudi contre les Allemands de Wolfsburg, puis face à Lyon, dimanche soir prochain, il ne soit plus en place. En cause, comme vous le savez, les (très) mauvais résultats des Verts depuis le début de saison.

Huit points en huit matches, c’est beaucoup trop peu. Et la causerie de Printant à ses joueurs, lors de la défaite à Angers (1-4), n’aurait, par ailleurs, pas du tout plus aux dirigeants, si l’on en croit l’Equipe. Depuis jeudi, et notre information donnée bien avant tout le monde, on sait que Claude Puel figure en bonne place pour succéder à Printant. Les contacts sont avancés. Très avancés même.

Mais si l’on en croit l’Equipe, toujours, deux autres candidats demeurent : Jean-Louis Gasset et…Antoine Kombouaré. Ce dernier étant évoqué à chaque fois que les Stéphanois cherchent un entraîneur…Au vu des relations de Printant avec sa direction aujourd’hui, on doute fort que Gasset revienne dans les prochaines heures…

B.D.

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

Les Ultras s'invitent en conférence de presse et exigent un retrait de Caïazzo et Romeyer

Les Ultras s'invitent en conférence de presse et exigent un retrait de Caïazzo et Romeyer

Surprise hier après-midi. Peu avant que Yoahn Cabaye et Ghislain Printant se présentent pour la traditionnelle conférence de presse d’avant-match, ce sont une trentaine de membres des Green Angels 92 (officiellement auto-dissous) ont pénétré dans la salle de presse. Deux d’entre-eux ont lu un communiqué adressé aux deux présidents de l’ASSE.

Le communiqué des Green Angels 92

Aujourd’hui, l’AS Saint-Étienne est 19e de Ligue 1. Si nous sommes là devant vous, c’est que la situation ne peut plus durer. Joueurs, staff, entraîneur ont été mis devant leurs responsabilités, dès le retour du déplacement à Angers. Il n’appartient maintenant qu’à eux de montrer un minimum de fierté et de révolte face à cette situation. Ils le savent, notre soutien sera indéfectible du moment qu’ils mouillent le maillot vert.
Mais le mal qui ronge notre club ne se trouve pas sur le terrain ni sur le banc de touche. Il est bien plus profond et dure déjà depuis 15 ans. En quinze années, nous l’accordons, le club a été redressé financièrement. Mais que dire du bilan sportif ? Une maigre coupe qui n’existera bientôt plus, des qualifications européennes illusoires, et de nombreuses humiliations face à l’ennemi juré. Christophe Galtier aura été l’arbre qui cache la forêt.
Depuis son départ, 4 entraîneurs différents se sont succédés sur notre banc de touche en 2 ans. Désormais deux choses qui séparent l’AS Saint-Étienne des autres clubs français : son palmarès bien sûr, mais aussi son organisation ridicule. Deux actionnaires-présidents, un directoire, un conseil de surveillance et pas de directeur sportif.
Qu’importe le prestige ou l’expérience du staff, de Frédéric Paquet à JL Gasset, le constat est le même. Tous deux sont partis à cause de l’incompétence de deux personnes : Bernard Caiazzo et Roland Romeyer.
Tous se plaignent des mêmes maux : des désaccords permanents, des présidents ne supportant pas qu’on leur fasse de l’ombre et surtout, ne dialoguant même pas entre eux. Il n’est plus possible que les décisions sportives les plus importantes de notre club soient gérées par deux personnes différentes, avec deux visions complètement opposées.
En ce moment même, le grand cirque médiatique a repris : quand l’un dit blanc à un média, l’autre dit noir au média concurrent. L’AS Saint-Étienne est pris en otage par ces guerres de pouvoir.
L’un habite à Paris, passant plus de temps sur les plateaux télés qu’à Geoffroy Guichard, l’autre se dit trop fatigué et à bout de souffle pour gérer le club et au final, ni l’un ni l’autre ne tiennent les rênes quand le club s’enfonce.
À chaque fois que leur départ est réclamé, la réponse est la même, si quelqu’un arrive avec des garanties suffisantes, le club sera vendu puis pour quelques millions de droits TV, nos deux actionnaires continuent de s’accrocher au club comme des sangsues. Nous soutenons le fait que l’ASSE ne peut être vendue qu’à un repreneur sérieux, partageant les valeurs du club, mais cela va prendre du temps. Et du temps, l’AS Saint-Étienne n’en a plus.
Aujourd’hui, c’est un retrait sportif et médiatique de Bernard Caiazzo et Roland Romeyer que nous réclamons.
Nous exigeons aujourd’hui que nos présidents redeviennent des actionnaires et seulement des actionnaires. Eux qui n’ont qu’une vision entrepreneuriale de l’ASSE, qu’il l’assume, en nommant un Président Directeur général avec une carte blanche en matière sportive comme administrative. De cette façon, ils pourront enfin se consacrer pleinement à la vente du club.
Roland Romeyer et Bernard Caiazzo doivent définitivement abandonner le quotidien sportif de l’AS Saint-Étienne, car la mascarade n’a que trop durée. Si le ridicule ne tue pas, il a déjà bien trop dégradé l’image du club étoilé. Le retour au calme ne passera pas par le licenciement de fusibles, mais uniquement par une restructuration profonde du club, et cela passe par le retrait de ces deux parasites. Si cette gestion perdure, l’ASSE tombera dans les oubliettes du football français, et ce dans un futur proche.
Ce club nous l’aimons plus que tout, comme des centaines de milliers de personnes, et pour chacun d’entre nous il n’est plus supportable de le voir dans une telle situation. Nous demandons donc à Bernard Caiazzo et Roland Romeyer de prendre leurs responsabilités, pour le bien de l’AS Saint-Etienne.
ALLEZ LES VERTS 
PARTOUT TOUJOURS
Crédit photo : © Radio France – Margaux Caroff

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ASSE : le communiqué complet des ultras réclamant le retrait des présidents

Ce samedi, les Green Angels et les Indépendantistes se sont invités à la conférence de presse de l’entraîneur de l’ASSE Ghislain Printant.

Moment lunaire ce samedi à l’Etrat, où une trentaine d’ultras a débarqué en conférence de presse pour réclamer le départ des deux présidents. Voici leur communiqué complet.

« Aujourd’hui, l’AS Saint-Étienne est 19e de Ligue 1. Si nous sommes là devant vous, c’est que la situation ne peut plus durer. Joueurs, staff, entraîneur ont été mis devant leurs responsabilités, dès le retour du déplacement à Angers. Il n’appartient maintenant qu’à eux de montrer un minimum de fierté et de révolte face à cette situation. Ils le savent, notre soutien sera indéfectible du moment qu’ils mouillent le maillot vert. 

Mais le mal qui ronge notre club ne se trouve pas sur le terrain ni sur le banc de touche. Il est bien plus profond et dure déjà depuis 15 ans. En quinze années, nous l’accordons, le club a été redressé financièrement. Mais que dire du bilan sportif ? Une maigre coupe qui n’existera bientôt plus, des qualifications européennes illusoires, et de nombreuses humiliations face à l’ennemi juré. Christophe Galtier aura été l’arbre qui cache la forêt. 

Depuis son départ, 4 entraîneurs différents se sont succédés sur notre banc de touche en 2 ans. Désormais deux choses qui séparent l’AS Saint-Étienne des autres clubs français : son palmarès bien sûr, mais aussi son organisation ridicule. Deux actionnaires-présidents, un directoire, un conseil de surveillance et pas de directeur sportif.

Qu’importe le prestige ou l’expérience du staff, de Frédéric Paquet à JL Gasset, le constat est le même. Tous deux sont partis à cause de l’incompétence de deux personnes : Bernard Caiazzo et Roland Romeyer.

Tous se plaignent des mêmes maux : des désaccords permanents, des présidents ne supportant pas qu’on leur fasse de l’ombre et surtout, ne dialoguant même pas entre eux. Il n’est plus possible que les décisions sportives les plus importantes de notre club soient gérées par deux personnes différentes, avec deux visions complètement opposées. 

En ce moment même, le grand cirque médiatique a repris : quand l’un dit blanc à un média, l’autre dit noir au média concurrent. L’AS Saint-Étienne est pris en otage par ces guerres de pouvoir. 

L’un habite à Paris, passant plus de temps sur les plateaux télés qu’à Geoffroy Guichard, l’autre se dit trop fatigué et à bout de souffle pour gérer le club et au final, ni l’un ni l’autre ne tiennent les rênes quand le club s’enfonce.

À chaque fois que leur départ est réclamé, la réponse est la même, si quelqu’un arrive avec des garanties suffisantes, le club sera vendu puis pour quelques millions de droits TV, nos deux actionnaires continuent de s’accrocher au club comme des sangsues. Nous soutenons le fait que l’ASSE ne peut être vendue qu’à un repreneur sérieux, partageant les valeurs du club, mais cela va prendre du temps. Et du temps, l’AS Saint-Étienne n’en a plus.

Aujourd’hui, c’est un retrait sportif et médiatique de Bernard Caiazzo et Roland Romeyer que nous réclamons.

Nous exigeons aujourd’hui que nos présidents redeviennent des actionnaires et seulement des actionnaires. Eux qui n’ont qu’une vision entrepreneuriale de l’ASSE, qu’il l’assume, en nommant un Président Directeur général avec une carte blanche en matière sportive comme administrative. De cette façon, ils pourront enfin se consacrer pleinement à la vente du club. 

Roland Romeyer et Bernard Caiazzo doivent définitivement abandonner le quotidien sportif de l’AS Saint-Étienne, car la mascarade n’a que trop durée. Si le ridicule ne tue pas, il a déjà bien trop dégradé l’image du club étoilé. Le retour au calme ne passera pas par le licenciement de fusibles, mais uniquement par une restructuration profonde du club, et cela passe par le retrait de ces deux parasites. Si cette gestion perdure, l’ASSE tombera dans les oubliettes du football français, et ce dans un futur proche. 

Ce club nous l’aimons plus que tout, comme des centaines de milliers de personnes, et pour chacun d’entre nous il n’est plus supportable de le voir dans une telle situation. Nous demandons donc à Bernard Caiazzo et Roland Romeyer de prendre leurs responsabilités, pour le bien de l’AS Saint-Etienne.

ALLEZ LES VERTS
PARTOUT TOUJOURS »

R.N.

« Dans notre situation, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y a homme plus idoine que Puel ! »

« Dans notre situation, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y a homme plus idoine que Puel ! »

ALLÔ, DOCTEUR ?! MA FILLE EST TRÈS MALADE !!!!!

« Les grandes passions sont des maladies sans espérance, ce qui pourrait les guérir les rend plus dangereuses encore »  Goethe

Salut les Groupies

En allant au stade mercredi, mon frère #GroLulu me disait : « moi maintenant dans la vie, j’essaye toujours de voir le côté positif des choses ». Bon, j’ai essayé le précepte sur #ASSEFCM, et ben vous savez quoi ??? Ça marche !! Par exemple, ce qu’il y avait de positif dans ce match, c’est que j’ai pu aller pisser à la 40’’ pour éviter l’affluence aux goguenuches, avec l’esprit 100% tranquille, sachant que je ne raterais RIEN. C’est positif ça, non ou bien ?

Mais ça s’arrête là. Car pour le reste, l’enfant est très malade. Le Docteur @JossRandall42 vous livre ci-dessous ses diagnostics, et quelques possibles prescriptions.

Diagnostic #1 – Un début d’atrophie testiculaire et un taux de PDO (Protéine De l’Orgueil) anormalement bas

Après l’humiliation angevine, j’attendais (a minima…) une réaction à base d’orgueil, tout simplement. A la place, j’ai eu du silence. Un silence si profond qu’on entendrait réfléchir un gardien de la paix. Pas de réaction, pas de révolte, même à 0-1, on avait l’impression de voir une équipe verte qui menait 2-0 et qui essayait de protéger le score. Et ça, sincèrement, au-delà des qualités purement footballistiques, tactiques, etc…. ne pas être capables de ce minimum-là, dans notre situation, à domicile, même mon cheval ça le fait hennir (hennit soit qui mal y pense). Parler, ça ils savent. Mais « Cause en Homme, et tu seras entendu des Hommes mon fils ! ».
Prescription : Trouver un marché où il reste des cojones à vendre (y aller tôt le matin). A défaut, tenter le Marabout Africain ou appeler Gérard Majax.

Diagnostic #2 – De sérieux problèmes de transit

Si on doit (vraiment ?) parler foot, on aura noté que l’animation collective de l’équipe, notamment les phases de transit(ion) sont aussi calmes que la vie privée d’un Eunuque. Le passage des phases défensives à offensives sont d’une lenteur affligeante, à force de trop de passes, aussi redoublées que latérales et ‘sécures’. Très peu de décrochages des offensifs pour offrir des solutions. Tant qu’on mettra autant de temps à aller de notre gardien à notre attaquant de pointe, on n’est pas prêts de marquer 3 buts en moyenne par match (ben oui, vu qu’on en prend 2 en moyenne, il faudrait en marquer trois. Autant vous dire qu’on n’est pas sortis des ronces !). De manière plus générale, en dehors de MOBYLETTE_NORDIN et ( curieusement) un peu de MOLLETS_DE_POULE_HAMOUMA, tous nos joueurs sont LENTS. Dans les courses comme dans les gestes. Problème de condition physique ?? (ça va moins ricaner avec l’adjudant de Gendarmerie PUEL_A_TARTE_[DANS_LA_GUEULE]).
Prescription : Travailler à l’entrainement le jeu à une seule touche avec transitions chronométrées. Euh …. « Travailler à l’entrainement ??? » …. Euh …. C’est-à-dire, Docteur ? De quoi est-ce qu’on parle-t-il, là ??!!

Diagnostic #3 – Une défense immunitaire inexistante

Aaaah … en voilà un sujet qu’il est bien. La défense. De Profundis (ou douze, mais j’irai pas plus haut !). Et dire que c’était autrefois un point fort des Verts. 8 matchs, 16 buts encaissés. 2 par match. Propre, quoi. Mais bon, faut dire aussi qu’on a rencontré quasiment que des grosses équipes : Brest, Toulouse, Angers, Metz. Du cador, quoi. Ça fait flipper, hein ? Mais pas très étonnant finalement : WARRIOR_LA_BÛCHE ne dépasse quasiment plus la ligne médiane, mais dans le camp adverse. TROBEAU_TRAUCO défend à 5 mètres et « trottine à côté de » au lieu de défendre (me demande quand même si on s’est finalement pas un peu fait enfler, là, non ??). HAROLD_SERGENT_MOULOUDJI (précédents matchs) travaille d’arrache-pied pour arriver à courir le 100m aussi lentement que CAP’TAIN_FLAM_PERRIN (et il n’est plus très loin de l’objectif), qui lui tente au contraire d’essayer de courir plus vite, mais n’y arrive pas (et n’y arrivera probablement plus). Quant à  KOLODZIEJCZAK_A_DIT, il est resté au Mexique et nous a envoyé un faux-jumeau. On est mal, patron. On est très mal.

Prescription : Aller à St Roch, allumer un énorme cierge en priant pour un retour très rapide de FREE_WILLY_SALIBA, PAS_LANCIA_FLAVIA, SILVA_OH_GABY_FAUT_PAS_M’LAISSER_TOUT_SEUL_LA_NUIT. Et prier aussi pour que ceux qui ne sont pas complètement perdus pour la science se réveillent enfin.

Diagnostic #4 – Le cerveau ne répond plus

Enfin, on le sait, c’est le cerveau qui dirige tout. Et là, le cerveau LINO_GP_VENTURA ne dirige plus rien. Il n’y a pas d’issue, il faut en changer, même si les greffes de cerveau sont les opérations les plus délicates.
Bien qu’il revendique encore son « refus d’abdiquer », qu’il saisit comme un naufragé saisit une bouée, tout le monde a compris que c’est un « coup de pied dans l’eau » (yark !). Car bien sûr que tout le monde a vu que son sens tactique est à l’architecture footballistique moderne ce que la Tour de Pise est au fil à plomb. Et du coup, la vindicte publique s’abat sur lui comme une volée de condors sur le cadavre d’un général de brigade. Pas très juste, dans le fond, mais c’est le jeu Matthieu.
Prescription : en coulisse, ça grenouille fort pour le prochain cerveau. Le donneur est trouvé. Et croyez-moi (et si vous ne me croyez pas, allez-vous faire badigeonner le  grand Zygomatique au mercurochrome), je ne suis pas (du tout, mais alors du tout !!) un grand fan de PUEL_A_TARTE_[DANS_LA_GUEULE]. Mais dans notre situation actuelle, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y avait homme plus idoine que lui. Et puis j’en riffagne d’avance … car j’en vois déjà deux-trois (LA_M’VILAINE, RYAD_AUBOUTDUBOUT, WHABIBENDUM_KHAZRI) qui vont saigner du nez quand il faudra aller courir dans les bois du Bessat à 6 heures du mat en Novembre !! Et puis, ça nous promet aussi des Derby bien préparés, vu que le Glaude, il a pas trop digéré ses XX M€ perdus aux prud’hommes contre PICSOU_JEANMICH’ il y a quelques années !! 🙂 🙂

Vous avez vu j’ai fait plus court, non ? (Note du Boss : « Non ») Alors soyons clairs, que la petite vérole de @Katara420 et LaJupette @Jupra42 arrêtent tout de suite de ricaner, ce n’est pas du tout pour leur faire plaisir! C’est simplement qu’il arrive un moment où les mots manquent quand on attend des actes.
Et BIIIIIIMMM !!!!

Le Cowboy à la radio – #AutoPromo 🙂

Il est très improbable que vous l’ayez raté 🙂 🙂  mais au cas où …. Les retardataires peuvent retrouver les passages du Cowboy sur RMC cette semaine.

Lundi dans l’Afterfoot 100% Sainté :

et en live dans le Grand After de Jeudi :

After Foot RMC : Joss Randall invité à évoquer la crise que traverse l’ASSE !

L’occasion aussi de remercier à nouveau @EDWARDJAY73, @jeyraumeTHOMAS, @gilbertbrisbois et @AfterRMC.
Je me suis bien marré ! On remettra ça.

LA COMPLAINTE DE PIPO & BIMBONINHO … ET DE JEANMICH-LE-RETOUR

Le seul truc qui nous console (un peu) en ce moment c’est de voir qu’à 60km de là, y a également du mou dans la corde à nœuds !! Pas de quoi en tout cas se la peindre en vert pour se la coller au milieu d’un bouquet !!
Et finalement, il y a des trajectoires communes. Fin 2017, L’ami RORO chez nous décide de « prendre du recul » et confier les rênes. On a vu combien de temps ça a tenu. Et moi je vous le dis, mon JeanMich je le connais comme si je l’avais fait. Va pas tenir longtemps à « prendre du recul » lui non plus, avec ses deux brésiliennes qui inquiètent. Il a déjà commencé à donner des signes d’agacement, le JeanMimi, et je ne serai pas surpris outre mesure de le voir très rapidement se remettre à virevolter autour de PIPO & BIMBO-NINHO comme une vieille mouche bleue zonzonne autour des cagoinsses du jardin !!
Décidément, on s’ennuie jamais en Rhône-Alpes !!

Crédit photo : Icon Sport

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L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

Les faits, seulement les faits. Stéphane Ruffier, blessé au doigt, a joué à Angers handicapé. Forfait face à Metz ce mercredi, Bilel Ghazi a rédigé un article relatant la coulisse de l’ASSE dans lequel il évoque le choix de Ruffier de ne pas jouer ainsi que les tensions qui règnent autour de Fabrice Grange… Alors qu’il était annoncé un communiqué venant à la rescousse du gardien stéphanois, l’ASSE n’est pas rentré dans cette polémique et son agent s’est un peu perdu dans ses explications…

Bilel Ghazi, via L’Equipe, a finalement mis les pieds dans le plat. Via un article publié ce jeudi, il explique que Ruffier, au plus fort de la crise, a préféré écouter sa blessure au doigt plutôt que de serrer une nouvelle fois les dents. Un choix dont il est libre et qui ne peut être discuté. Cependant, le journaliste laissait entrevoir un choix lié aux comportement des coéquipiers en expliquant que le gardien « serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. » Extrait :

L’habituel gardien stéphanois souffrait de sa main gauche depuis que Timothée Kolodziejczak lui était retombé dessus à La Gantoise (2-3), en Ligue Europa le 19 septembre. Après s’être fait strapper les deux derniers doigts de la main gauche sur son gant à Angers (1-4), dimanche, Ruffier a passé hier matin des examens qui ont révélé un trait de fracture du petit doigt. Jessy Moulin, son habituelle doublure, souffre, lui, d’une rupture d’un ligament au niveau du poignet droit. L’absence de Ruffier est aussi à lire dans un contexte particulier en coulisse. Après avoir serré les dents dimanche, le gardien stéphanois n’a pas apprécié l’état d’esprit de son équipe lors de son calvaire en Anjou, et il avait clairement laissé entendre en début de semaine qu’il serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. Le bilan des examens a donné de la sagesse à sa décision, mais ce qui l’avait initialement motivé traduit une crispation ambiante.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Par ailleurs, Bilel Ghazi révèle les tensions en interne entre l’entraîneur des gardiens Fabrice Grange et certaines personnes au club :

Au-delà des performances de son équipe, Ruffier vit mal de voir Fabrice Grange sous le feu des critiques en interne. Entraîneur des gardiens, ce dernier a pris une place très importante auprès de Ghislain Printant, et son influence sur le technicien est jugée de manière très négative. Grange suscite également une crispation pour des raisons contractuelles. Au moment de la nomination de Printant, les dirigeants avaient acté des contrats de deux saisons pour l’ensemble du staff. Mais Grange était parti négocier, en vain, une troisième année avec Roland Romeyer, l’un des deux propriétaires présidents de l’ASSE, pour ne pas trop lier son avenir à celui de Ruffier, sous contrat jusqu’en juin 2021. Au centre de nombreuses tensions, Grange serait aujourd’hui dans le viseur en interne, au point de rendre son avenir incertain. Tandis que son indisponibilité n’a pas été communiquée par son club, Ruffier percevrait un éventuel départ de Grange comme un point de rupture dans la relation de confiance qui le lie à l’AS Saint-Étienne.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Suite à cela, a été annoncé une communication visant à répondre aux accusations de L’Equipe. Alors qu’on s’attendait à ce que Stéphane Ruffier monte au créneau, c’est le club qui, via un communiqué minimaliste sous forme de certificat médical, indiquait que son gardien était blessé.

Stéphane Ruffier souffre d’une fracture non déplacée de la première phalange de l’auriculaire de la main gauche. La durée de son indisponibilité dépendra de l’évolution de la fracture et de la douleur.

Communiqué de l’ASSE – Source : ASSE.fr

Une communication qui en dit long sur l’envie du club de défendre son gardien. En effet, les dirigeants nous ont habitué à faire plus long et plus argumenté lorsqu’il a s’agit par le passé de défendre l’institution ou l’un de ses membres. Aucun mot sur Fabrice Grange, et pour cause, les informations de Bilel Ghazi au sujet de tensions en interne semblent bien réelles.

C’est finalement Fabrice Glanz, l’agent du joueur, qui a pris la parole :

Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents. Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas.

Fabrice Glanz – Source : L’Equipe

Des explications très brouillonnes, jouant sur la théorie du complot interne, qui n’ont certainement pas facilité la communication du gardien stéphanois qui, par le passé, s’était déjà pris les pieds dans le tapis au moment de justifier des moqueries envers un joueur amateur de Raon l’Etape en coupe de France…

Crédit photo : Icon Sport

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Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Hier au soir, mon équipe, l’équipe que je supporte depuis une quinzaine d’années, a connu une nouvelle défaite en ce début de saison. La quatrième en seulement sept journées mais l’une de celles qui fait le plus mal. C’est donc pour moi, invétéré supporter de l’AS Saint-Étienne, le moment de lâcher ce que j’ai sur le coeur.

De désillusions en désillusions

Après deux désillusions sommes toutes logiques à Lille puis Marseille, j’ai espéré un redressement face à Toulouse dans notre Chaudron avec ses deux poumons. Ce ne fût pas le cas. J’ai alors rêvé d’un réveil pour le premier match d’Europa League en Belgique, ce ne fût pas le cas. Je n’espérais pas grand-chose du déplacement à Angers, seulement une révolte par le jeu. Ce ne fût pas le cas non plus. De par mon éternel optimisme, je savais alors que mon club, mes joueurs, allaient réagir et écraser à la maison un FC Metz malade. Malheureusement, force est de constater que l’équipe que j’aime par-dessus tout, est bien l’une, si ce n’est, la plus malade de Ligue 1.

En déroute totale

En effet, l’ASSE, plus grand club de France, s’est inclinée un but à zéro face au Metz de Vincent Hognon. Signe du destin, c’est celui qui était l’un de nos fidèles défenseurs en Ligue 2 et lors de notre remontée en Ligue 1 (de 2002 à 2007) qui vient s’imposer à Geoffroy-Guichard et ainsi annoncer la crise dans le Forez. Outre cette défaite, ce qui me rend le plus anéanti c’est l’état d’esprit de ce groupe qui a l’air incapable de réagir. Pourtant, intrinsèquement notre effectif fait partie des meilleurs de notre championnat et sûrement le meilleur que l’on est eut depuis de longues années. Nous avons des joueurs de haut-niveau mais ceux-ci n’arrivent pourtant pas à me procurer du plaisir. Comment est-ce possible de si peu vibrer devant chaque rencontre disputée ? Lors des mois de juillet et août, je souhaitais laisser du temps à ces joueurs, à ce staff et à nos présidents, qui avaient pour une fois bien travaillé selon moi lors du mercato estival. Mais à ce jour, après un mois de septembre apathique, ce manque de réaction, ce manque de plan tactique et cet immense manque d’homogénéité entre nos deux présidents me forcent à clamer haut et fort ma douleur.

Une passion qui s’éteint

Oui j’ai mal et oui jusqu’à présent je souffrais en silence. Désormais je n’en peux plus. Même si je n’ai pas connu les pires années de mon club (supporter depuis 2005), j’ai tout de même vécu des passages très compliqués avec plusieurs crises notamment de 2008 à 2010. Deux années sombres où je vibrais pourtant toujours autant pour mon club, où je sentais des équipes motivées, qui souhaitaient s’en sortir. Aujourd’hui, malgré une superbe saison l’année dernière, je ne sens pas ce sentiment de révolte du côté de nos troupes. Comme l’impression que l’on se laisse couler, doucement mais sûrement, et que personne (ou presque) n’a l’air de vraiment s’en soucier. Les joueurs ne font rien pour s’en sortir et leurs discours formatés à chaque début ou fin de match commencent vraiment à m’agacer au plus haut point. Chaque « on va essayer », « on va se remettre au travail », « on va bien se reposer » (M’Vila like this) ou encore « on est qu’à la septième journée » me rendent fou. Nous, simples supporters, sommes dans l’attente chaque saison de vibrer pour le club qu’on aime. Chaque semaine j’attends mon (ou mes) match(s) des Verts pour prendre du plaisir et rêver d’un bon parcours que ça soit en championnat ou en coupe. Même si défaite il y a, si le visage de mon équipe m’a fait plaisir j’aurais des motifs de satisfaction. Aujourd’hui, chaque rencontre me rend aigri. Tous les trois jours je suis obligé de m’agacer pour des joueurs qui n’en valent même pas la peine puisque la plupart ont l’air de royalement se foutre de mon institution. Il est loin le temps où Guilavogui me rendait heureux pour une année entière par le simple biais d’un tweet après une victoire dans cette mascarade qu’est la Coupe de la Ligue. Loin, très loin…

Tous travailler dans le même sens

Évidemment, cela serait une catastrophe industrielle pour de nombreuses personnes travaillant au club de voir l’équipe descendre ou même jouer le maintien. Ce n’est pas ce que les dirigeants souhaitent, cela me paraît assez logique. Mais bord*l, j’ai comme le mauvais sentiment que personne ne souhaite parler, essayer d’avancer ensemble pour que le club fonctionne au mieux. Chacun veut faire à sa sauce et ne pense pas vraiment à ce qu’est le mieux pour notre club (coucou nos deux têtes pensantes). Depuis le peu d’années que je supporte les Verts, les pires passages ont été lorsque nos deux présidents ont dû réellement faire des choix à deux. Nous avons eu la chance d’avoir pendant plusieurs années Christophe Galtier puis pendant un an et demi Jean-Louis Gasset (accompagné d’un très bon Frédéric Paquet) mais pour le reste, cela a souvent été difficile en terme de bonnes décisions. Maintenant, après de trop nombreuses paroles je souhaite des actes, des réponses à cet honteux début de saison. Rien n’est là, tout est à refaire que ça soit dans l’état d’esprit ou dans les choix de notre direction. Faites tous en sortent que notre club soit là où il devrait être et non dans les bas-fonds de cette pauvre Ligue 1.

Nous sommes l’AS Saint-Étienne. Dirigeants, entraîneurs et joueurs vous êtes l’AS Saint-Étienne. Vous vous devez TOUS de réagir pour le bien de l’institution qu’est l’ASSE. Dire que vous en êtes incapables serait mentir, alors BOUGEZ-VOUS. Dans l’espoir que ce cri du coeur arrivent aux oreilles de certains.

Sportivement, Rémi, fervent supporter de l’ASSE.

ALLEZ LES VERTS !

ASSE : le clan Ruffier sort du silence et met fin à la polémique !

S’il ne s’est finalement pas exprimé sur la polémique autour de sa blessure, Stéphane Ruffier a laissé soin à l’ASSE et à son clan de l’éteindre.

Depuis hier, Stéphane Ruffier se retrouve au cœur d’une polémique à l’AS Saint-Etienne. Victime d’une blessure au petit doigt, le gardien des Verts était accusé par certains d’avoir sciemment organisé son forfait de dernière minute face au FC Metz mercredi (défaite 0-1 avec le jeune Stefan Bajic dans les buts).

Face à ces rumeurs, l’ASSE a allumé un timide contre-feu dans la journée de jeudi en communicant sur la santé de Ruffier. En revanche, aucune mention aux raisons évoquées par « L’Equipe » et notamment aux rumeurs autour de Fabrice Grange, l’entraîneur des gardiens, contesté en interne et défendu par le Bayonnais.

« On ne peut remettre en question son professionnalisme »

Dans les colonnes de « L’Equipe », l’agent de Ruffier, Patrick Glanz est sorti du silence : « Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents », a-t-il ouvert en préambule… Avant de clore sur la polémique :

« Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas ».

Arnaud Carond

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

Ruffier décide de se soigner et va communiquer sur sa blessure

Ruffier décide de se soigner et va communiquer sur sa blessure

Stéphane Ruffier n’a pas participé à la défaite contre Metz, hier soir, pour cause de blessure. En effet, comme le rapporte L’Équipe, il souffre d’un trait de fracture au pouce depuis le match contre La Gantoise. Cette blessure se serait accentuée pendant le match contre Angers.

Ruffier exaspéré

Toujours d’après L’Équipe, l’absence du portier stéphanois contre Metz serait aussi due à une grande exaspération de sa part vis-à-vis de ses coéquipiers, après la débâcle contre Angers. Enfin, le gardien des Verts vivrait assez mal les critiques formulées, en interne, sur son entraîneur Fabrice Grange avec qui il a une relation presque fusionnelle

Une communication dans la journée

D’après Manu Lonjon, Stéphane Ruffier devrait s’exprimer dans la journée, suite à l’article de L’Équipe. Difficile de savoir ce que va dire le taiseux dernier rempart des Verts.

Crédit photo : butfootballclub.fr