L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

Les faits, seulement les faits. Stéphane Ruffier, blessé au doigt, a joué à Angers handicapé. Forfait face à Metz ce mercredi, Bilel Ghazi a rédigé un article relatant la coulisse de l’ASSE dans lequel il évoque le choix de Ruffier de ne pas jouer ainsi que les tensions qui règnent autour de Fabrice Grange… Alors qu’il était annoncé un communiqué venant à la rescousse du gardien stéphanois, l’ASSE n’est pas rentré dans cette polémique et son agent s’est un peu perdu dans ses explications…

Bilel Ghazi, via L’Equipe, a finalement mis les pieds dans le plat. Via un article publié ce jeudi, il explique que Ruffier, au plus fort de la crise, a préféré écouter sa blessure au doigt plutôt que de serrer une nouvelle fois les dents. Un choix dont il est libre et qui ne peut être discuté. Cependant, le journaliste laissait entrevoir un choix lié aux comportement des coéquipiers en expliquant que le gardien « serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. » Extrait :

L’habituel gardien stéphanois souffrait de sa main gauche depuis que Timothée Kolodziejczak lui était retombé dessus à La Gantoise (2-3), en Ligue Europa le 19 septembre. Après s’être fait strapper les deux derniers doigts de la main gauche sur son gant à Angers (1-4), dimanche, Ruffier a passé hier matin des examens qui ont révélé un trait de fracture du petit doigt. Jessy Moulin, son habituelle doublure, souffre, lui, d’une rupture d’un ligament au niveau du poignet droit. L’absence de Ruffier est aussi à lire dans un contexte particulier en coulisse. Après avoir serré les dents dimanche, le gardien stéphanois n’a pas apprécié l’état d’esprit de son équipe lors de son calvaire en Anjou, et il avait clairement laissé entendre en début de semaine qu’il serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. Le bilan des examens a donné de la sagesse à sa décision, mais ce qui l’avait initialement motivé traduit une crispation ambiante.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Par ailleurs, Bilel Ghazi révèle les tensions en interne entre l’entraîneur des gardiens Fabrice Grange et certaines personnes au club :

Au-delà des performances de son équipe, Ruffier vit mal de voir Fabrice Grange sous le feu des critiques en interne. Entraîneur des gardiens, ce dernier a pris une place très importante auprès de Ghislain Printant, et son influence sur le technicien est jugée de manière très négative. Grange suscite également une crispation pour des raisons contractuelles. Au moment de la nomination de Printant, les dirigeants avaient acté des contrats de deux saisons pour l’ensemble du staff. Mais Grange était parti négocier, en vain, une troisième année avec Roland Romeyer, l’un des deux propriétaires présidents de l’ASSE, pour ne pas trop lier son avenir à celui de Ruffier, sous contrat jusqu’en juin 2021. Au centre de nombreuses tensions, Grange serait aujourd’hui dans le viseur en interne, au point de rendre son avenir incertain. Tandis que son indisponibilité n’a pas été communiquée par son club, Ruffier percevrait un éventuel départ de Grange comme un point de rupture dans la relation de confiance qui le lie à l’AS Saint-Étienne.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Suite à cela, a été annoncé une communication visant à répondre aux accusations de L’Equipe. Alors qu’on s’attendait à ce que Stéphane Ruffier monte au créneau, c’est le club qui, via un communiqué minimaliste sous forme de certificat médical, indiquait que son gardien était blessé.

Stéphane Ruffier souffre d’une fracture non déplacée de la première phalange de l’auriculaire de la main gauche. La durée de son indisponibilité dépendra de l’évolution de la fracture et de la douleur.

Communiqué de l’ASSE – Source : ASSE.fr

Une communication qui en dit long sur l’envie du club de défendre son gardien. En effet, les dirigeants nous ont habitué à faire plus long et plus argumenté lorsqu’il a s’agit par le passé de défendre l’institution ou l’un de ses membres. Aucun mot sur Fabrice Grange, et pour cause, les informations de Bilel Ghazi au sujet de tensions en interne semblent bien réelles.

C’est finalement Fabrice Glanz, l’agent du joueur, qui a pris la parole :

Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents. Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas.

Fabrice Glanz – Source : L’Equipe

Des explications très brouillonnes, jouant sur la théorie du complot interne, qui n’ont certainement pas facilité la communication du gardien stéphanois qui, par le passé, s’était déjà pris les pieds dans le tapis au moment de justifier des moqueries envers un joueur amateur de Raon l’Etape en coupe de France…

Crédit photo : Icon Sport

Lire la suite ...





Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Hier au soir, mon équipe, l’équipe que je supporte depuis une quinzaine d’années, a connu une nouvelle défaite en ce début de saison. La quatrième en seulement sept journées mais l’une de celles qui fait le plus mal. C’est donc pour moi, invétéré supporter de l’AS Saint-Étienne, le moment de lâcher ce que j’ai sur le coeur.

De désillusions en désillusions

Après deux désillusions sommes toutes logiques à Lille puis Marseille, j’ai espéré un redressement face à Toulouse dans notre Chaudron avec ses deux poumons. Ce ne fût pas le cas. J’ai alors rêvé d’un réveil pour le premier match d’Europa League en Belgique, ce ne fût pas le cas. Je n’espérais pas grand-chose du déplacement à Angers, seulement une révolte par le jeu. Ce ne fût pas le cas non plus. De par mon éternel optimisme, je savais alors que mon club, mes joueurs, allaient réagir et écraser à la maison un FC Metz malade. Malheureusement, force est de constater que l’équipe que j’aime par-dessus tout, est bien l’une, si ce n’est, la plus malade de Ligue 1.

En déroute totale

En effet, l’ASSE, plus grand club de France, s’est inclinée un but à zéro face au Metz de Vincent Hognon. Signe du destin, c’est celui qui était l’un de nos fidèles défenseurs en Ligue 2 et lors de notre remontée en Ligue 1 (de 2002 à 2007) qui vient s’imposer à Geoffroy-Guichard et ainsi annoncer la crise dans le Forez. Outre cette défaite, ce qui me rend le plus anéanti c’est l’état d’esprit de ce groupe qui a l’air incapable de réagir. Pourtant, intrinsèquement notre effectif fait partie des meilleurs de notre championnat et sûrement le meilleur que l’on est eut depuis de longues années. Nous avons des joueurs de haut-niveau mais ceux-ci n’arrivent pourtant pas à me procurer du plaisir. Comment est-ce possible de si peu vibrer devant chaque rencontre disputée ? Lors des mois de juillet et août, je souhaitais laisser du temps à ces joueurs, à ce staff et à nos présidents, qui avaient pour une fois bien travaillé selon moi lors du mercato estival. Mais à ce jour, après un mois de septembre apathique, ce manque de réaction, ce manque de plan tactique et cet immense manque d’homogénéité entre nos deux présidents me forcent à clamer haut et fort ma douleur.

Une passion qui s’éteint

Oui j’ai mal et oui jusqu’à présent je souffrais en silence. Désormais je n’en peux plus. Même si je n’ai pas connu les pires années de mon club (supporter depuis 2005), j’ai tout de même vécu des passages très compliqués avec plusieurs crises notamment de 2008 à 2010. Deux années sombres où je vibrais pourtant toujours autant pour mon club, où je sentais des équipes motivées, qui souhaitaient s’en sortir. Aujourd’hui, malgré une superbe saison l’année dernière, je ne sens pas ce sentiment de révolte du côté de nos troupes. Comme l’impression que l’on se laisse couler, doucement mais sûrement, et que personne (ou presque) n’a l’air de vraiment s’en soucier. Les joueurs ne font rien pour s’en sortir et leurs discours formatés à chaque début ou fin de match commencent vraiment à m’agacer au plus haut point. Chaque « on va essayer », « on va se remettre au travail », « on va bien se reposer » (M’Vila like this) ou encore « on est qu’à la septième journée » me rendent fou. Nous, simples supporters, sommes dans l’attente chaque saison de vibrer pour le club qu’on aime. Chaque semaine j’attends mon (ou mes) match(s) des Verts pour prendre du plaisir et rêver d’un bon parcours que ça soit en championnat ou en coupe. Même si défaite il y a, si le visage de mon équipe m’a fait plaisir j’aurais des motifs de satisfaction. Aujourd’hui, chaque rencontre me rend aigri. Tous les trois jours je suis obligé de m’agacer pour des joueurs qui n’en valent même pas la peine puisque la plupart ont l’air de royalement se foutre de mon institution. Il est loin le temps où Guilavogui me rendait heureux pour une année entière par le simple biais d’un tweet après une victoire dans cette mascarade qu’est la Coupe de la Ligue. Loin, très loin…

Tous travailler dans le même sens

Évidemment, cela serait une catastrophe industrielle pour de nombreuses personnes travaillant au club de voir l’équipe descendre ou même jouer le maintien. Ce n’est pas ce que les dirigeants souhaitent, cela me paraît assez logique. Mais bord*l, j’ai comme le mauvais sentiment que personne ne souhaite parler, essayer d’avancer ensemble pour que le club fonctionne au mieux. Chacun veut faire à sa sauce et ne pense pas vraiment à ce qu’est le mieux pour notre club (coucou nos deux têtes pensantes). Depuis le peu d’années que je supporte les Verts, les pires passages ont été lorsque nos deux présidents ont dû réellement faire des choix à deux. Nous avons eu la chance d’avoir pendant plusieurs années Christophe Galtier puis pendant un an et demi Jean-Louis Gasset (accompagné d’un très bon Frédéric Paquet) mais pour le reste, cela a souvent été difficile en terme de bonnes décisions. Maintenant, après de trop nombreuses paroles je souhaite des actes, des réponses à cet honteux début de saison. Rien n’est là, tout est à refaire que ça soit dans l’état d’esprit ou dans les choix de notre direction. Faites tous en sortent que notre club soit là où il devrait être et non dans les bas-fonds de cette pauvre Ligue 1.

Nous sommes l’AS Saint-Étienne. Dirigeants, entraîneurs et joueurs vous êtes l’AS Saint-Étienne. Vous vous devez TOUS de réagir pour le bien de l’institution qu’est l’ASSE. Dire que vous en êtes incapables serait mentir, alors BOUGEZ-VOUS. Dans l’espoir que ce cri du coeur arrivent aux oreilles de certains.

Sportivement, Rémi, fervent supporter de l’ASSE.

ALLEZ LES VERTS !

ASSE : Robert Herbin ne comprend plus…

L’ancien entraîneur de l’ASSE, Robert Herbin, est revenu pour le Progrès sur la défaite des Verts face au FC Metz, mercredi soir (0-1).

Il y a quelques semaines, au lendemain d’une défaite, Robert Herbin s’était montré plutôt positif quant au contenu proposé par l’ASSE. Il ne se disait pas inquiet et espérait même des lendemains meilleurs. Depuis, les Verts ne mettent toujours pas un pied devant l’autre.

Et du coup, le Sphynx de la grande époque affiche son incompréhension. Notamment depuis la défaite face au FC Metz, mercredi soir, comme il l’explique dans son habituelle chronique pour Le Progrès.

« J’ai du mal à comprendre le comportement de l’équipe. Avec ce but messin encaissé au bout de 18 minutes, ils se sont condamnés eux-mêmes. Par la suite, il n’y a pas eu de réaction. Pire, j’ai senti comme une sorte de renoncement. Aucun joueur n’est sorti du lot. Ils ont tous été dépassés. Ils vivent actuellement une expérience délicate. Le problème est collectif. Il faut rester positif car je suis persuadé qu’ils peuvent faire beaucoup mieux que ce qu’ils montrent actuellement. »

B.D.

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

ASSE : le clan Ruffier sort du silence et met fin à la polémique !

S’il ne s’est finalement pas exprimé sur la polémique autour de sa blessure, Stéphane Ruffier a laissé soin à l’ASSE et à son clan de l’éteindre.

Depuis hier, Stéphane Ruffier se retrouve au cœur d’une polémique à l’AS Saint-Etienne. Victime d’une blessure au petit doigt, le gardien des Verts était accusé par certains d’avoir sciemment organisé son forfait de dernière minute face au FC Metz mercredi (défaite 0-1 avec le jeune Stefan Bajic dans les buts).

Face à ces rumeurs, l’ASSE a allumé un timide contre-feu dans la journée de jeudi en communicant sur la santé de Ruffier. En revanche, aucune mention aux raisons évoquées par « L’Equipe » et notamment aux rumeurs autour de Fabrice Grange, l’entraîneur des gardiens, contesté en interne et défendu par le Bayonnais.

« On ne peut remettre en question son professionnalisme »

Dans les colonnes de « L’Equipe », l’agent de Ruffier, Patrick Glanz est sorti du silence : « Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents », a-t-il ouvert en préambule… Avant de clore sur la polémique :

« Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas ».

Arnaud Carond

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

ASSE : un petit sursis pour Printant grâce à la piste Puel ?

ASSE : un petit sursis pour Printant grâce à la piste Puel ?

Claude Puel fait partie des pistes creusées pour prendre la succession de Ghislain Printant à l’ASSE. Mais ce dossier devrait prendre du temps.

La situation de Ghislain Printant était déjà difficile avant le match contre Metz. Elle est devenue quasiment impossible après le revers de l’ASSE à domicile (0-1). La question de sa succession se pose plus que jamais.

Dans son live sur Twitter, le journaliste Manu Lonjon a fait le point sur la tendance actuelle au sein du club stéphanois. « Des infos que j’ai, la piste privilégiée reste Jean-Louis Gasset. Claude Puel c’est un dossier compliqué. (…) C’est normal que Sainté essaie de le faire parce qu’il a une cote très élevée ». Selon nos informations, une entrevue devait avoir lieu ce jeudi pour définir une possible collaboration.

Néanmoins, selon Manu Lonjon, ce dossier est amené à prendre du temps s’il doit être finalisé. « Oui il peut être intéressé. Mais c’est quelqu’un de très exigeant, notamment sur le cadre dont il disposera. Il est très improbable de pouvoir le faire avant dimanche contre Nîmes », a prévenu le journaliste. De quoi donner un petit sursis à Ghislain Printant ?

Maxime Tauzin

Les infos du jour : ça discute entre Puel et l’ASSE, étrange sanction contre le Barça

Si vous n’avez pas eu le temps de suivre l’actualité du jour, But Football Club récapitule pour vous les informations importantes de ce jeudi 26 septembre.

La grosse info : le siège de Printant vacille de plus en plus

Après la nouvelle défaite de l’ASSE à domicile face à Metz (0-1), le sort de Ghislain Printant semble plus proche que jamais d’être réglé. Claude Puel a d’ailleurs rendez-vous avec les dirigeants stéphanois selon nos informations. Mais d’autres pistes existent pour la révolution qui s’annonce.

ASSE – INFO BUT ! Le club a rendez-vous avec Claude Puel ce jeudi 

ASSE : Romeyer fait face aux supporters en colère, Caïazzo prépare une révolution 

ASSE : Caïazzo ne lâche pas Gasset, Puel envoie son bras droit en repérage 

Mais aussi :

FC Barcelone : la FIFA accusée d’avoir favorisé Lionel Messi à The Best ! 

Alors que l’attribution du trophée The Best à Lionel Messt est soumise à polémique, le FC Barcelone suscite également les railleries pour sa sanction ridicule dans l’affaire Griezmann. 

PSG – Stade de Reims (2-0) : Tuchel plaide coupable mais défend ses coiffeurs 

Mercredi soir, le PSG a été défait, à la surprise générale, dans son Parc des Princes face à Reims (0-2). Face aux médias, Thomas Tuchel a dû se justifier de ses choix.

LOSC – RC Strasbourg (2-0) : turn-over, Osimhen…Galtier affiche plusieurs satisfactions 

A l’issue de LOSC – RC Strasbourg (2-0), Christophe Galtier ne boudait pas son plaisir. Le technicien a aussi salué l’apport de Victor Osimhen.

Stade Brestois – OL (2-2) : Pierre Ménès déjà prêt à poser « les questions qui fâchent » 

Déçu par le visage de l’Olympique Lyonnais en ce début de saison, Pierre Ménès estime qu’il est désormais temps que les Gones se posent les bonnes questions.

FC Nantes – Stade Rennais (1-0) : Stephan ne se cache pas derrière l’arbitrage, Niang s’en veut 

Plutôt que de polémiquer sur l’arbitrage après la défaite face au FC Nantes (0-1), les Rennais préféraient disserter sur leurs manques lors du derby.

ASSE : le club met les choses au clair sur la blessure de Ruffier

Alors que l’absence de Stéphane Ruffier contre le FC Metz a donné lieu à quelques polémiques, l’ASSE a décidé de clarifier les choses.

Tandis que l’ASSE traverse une crise sérieuse, Ghislain Printant n’est pas le seul à être dans la tourmente. Stéphane Ruffier a également été au centre des discussions. Certains échos laissaient entendre que le portier stéphanois se serait fait porter pâle en raison d’une blessure minime…

Alors qu’une communication de Ruffier a été annoncé, c’est pour le moment le club qui a décidé de donner plus de détails sur sa blessure, laissant le flou sur la durée de son indisponibilité.

Le communiqué de l’ASSE :

Stéphane Ruffier souffre d’une fracture non déplacée de la première phalange de l’auriculaire de la main gauche. La durée de son indisponibilité dépendra de l’évolution de la fracture et de la douleur.

 

Mathieu Debuchy s'adjuge un record

Mathieu Debuchy s'adjuge un record

Si les Verts ont essuyé un nouveau revers hier soir contre Metz (0-1), un joueur a toutefois signé une statistique record cette saison en Ligue 1 Conforama.

WhoScored révèle en effet que notre latéral droit Mathieu Debuchy a intercepté 7 ballons. Un total qu’aucun joueur de Ligue 1 Conforama n’avait encore atteint cette saison. Malheureusement, les Verts n’ont pas su en faire bon escient.

ASSE – FC Metz (1-0) : Ménès ne pense pas que Printant soit le principal problème

Les infos du jour : Printant poussé vers la sortie à l'ASSE, Sylvinho critiqué à l'OL

Sur son blog, le consultant de Canal+ Pierre Ménès a commenté la nouvelle défaite de l’ASSE en évitant de charger Ghislain Printant.

La pression pesant sur les épaules de Ghislain Printant s’est accentué hier soir après la nouvelle défaite des Verts, la troisième d’affilée toutes compétitions confondues, cette fois contre le FC Metz (0-1). Touché mais pas coulé, l’ancien adjoint de Jean-Louis Gasset refuse pour l’instant de démissionner.

Pierre Ménès estime d’ailleurs que l’entraîneur n’est pas forcément le principal responsable de cette entame de saison catastrophique. Le consultant de Canal+ trouve les Verts totalement hors du coup physiquement, rejetant ainsi la faute sur le préparateur athlétique.

« Cela va beaucoup moins bien pour Printant, après la nouvelle défaite des Verts, à domicile et contre Metz – il faut quand même le faire. Les Lorrains ont marqué le seul but du match par Diallo face à une équipe stéphanoise qui n’a absolument rien montré en terme de jeu. Je veux bien que Sainté change d’entraîneur, mais je ne suis pas sûr que cela changera grand chose avec cet effectif qui a l’air totalement hors du coup physiquement. »

R.N.