ASSE – Mercato : la piste Claude Puel se confirme

Hier, nous vous annoncions en exclusivité une réunion entre les dirigeants de l’ASSE et l’entraîneur Claude Puel. RMC vient de confirmer notre information.

Hier, et comme souvent, notre correspondant à Saint-Etienne, Laurent Hess, vous annonçait en exclusivité la tenue d’une réunion entre les dirigeants de l’ASSE et l’entraîneur, Claude Puel. Ce dernier, libre à l’heure actuelle, étant susceptible de remplacer Ghislain Printant, qui ne parvient guère à obtenir des résultats.

Ce jour, c’est RMC qui confirme notre information. Via le journaliste Mohamed Bouhafsi.« Claude Puel en pole-position pour l’après Ghislain Printant ! ! Les discussions se sont accélérées ces dernières heures . »

Logique, la réunion avait lieu hier…

B.D.

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

Moukoudi avec les Lions Indomptables

Moukoudi avec les Lions Indomptables

Auteur d’un début de saison mi-figue mi-raisin, Harold Moukoudi va pourtant connaître la joie d’être appelé en équipe nationale. En effet, l’ancien havrais est sélectionné avec le Cameroun pour disputer un match amical le 12 octobre prochain face à la Tunisie.

Toute première fois

Cela sera peut-être l’occasion pour lui de retrouver son coéquipier stéphanois, Wahbi Khazri (ndlr : pas sélectionné avec les Aigles de Carthage lors de la dernière trêve). Régulièrement appelé dans les différentes catégories jeunes de l’Équipe de France (ndlr : 18 sélections réparties entre les U16 et U20), le défenseur de 21 ans s’était dit « ouvert à la sélection camerounaise » en décembre dernier dans une interview accordée à Onze Mondial. À lui désormais d’accepter ou non cette première sélection et de renoncer aux Bleus.

crédit photo : A.Martin/L’Équipe

LOSC : Christophe Galtier « pas inquiet » pour les Verts

Au cours de son point-presse, Christophe Galtier, l’entraîneur du LOSC, a évoqué la situation de son ancien club, l’ASSE.

Il ne dirige plus l’ASSE depuis des mois. Mais garde, nécessairement, un oeil avisé sur les résultats d’une formation qu’il a dirigée des années durant. On parle ici de Christophe Galtier, l’entraîneur du LOSC, interrogé il y a quelques heures sur la situation préoccupante des Verts en ce début de saison.

Le Marseillais a voulu faire part de son optimisme, tout en adressant un petit tacle à peine dissimulé à l’encontre de la direction à deux visages des Verts, Roland Romeyer-Bernard Caïazzo. Des propos retranscrits par poteauxcarrés.

« Je suis triste. Vraiment triste, oui. Mais, il y a toujours des raisons quand on a de tels résultats. Mais je ne suis pas inquiet, car le Chaudron est un atout. Les supporters peuvent être un poids. Ils savent se mobiliser pour faire en sorte de pousser l’équipe à gagner des matchs. »

Prochain rendez-vous pour l’ASSE, dimanche sur la pelouse du Nîmes Olympique.

B.D.

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Dirigeants, entraîneurs, joueurs, voici un cri du coeur

Hier au soir, mon équipe, l’équipe que je supporte depuis une quinzaine d’années, a connu une nouvelle défaite en ce début de saison. La quatrième en seulement sept journées mais l’une de celles qui fait le plus mal. C’est donc pour moi, invétéré supporter de l’AS Saint-Étienne, le moment de lâcher ce que j’ai sur le coeur.

De désillusions en désillusions

Après deux désillusions sommes toutes logiques à Lille puis Marseille, j’ai espéré un redressement face à Toulouse dans notre Chaudron avec ses deux poumons. Ce ne fût pas le cas. J’ai alors rêvé d’un réveil pour le premier match d’Europa League en Belgique, ce ne fût pas le cas. Je n’espérais pas grand-chose du déplacement à Angers, seulement une révolte par le jeu. Ce ne fût pas le cas non plus. De par mon éternel optimisme, je savais alors que mon club, mes joueurs, allaient réagir et écraser à la maison un FC Metz malade. Malheureusement, force est de constater que l’équipe que j’aime par-dessus tout, est bien l’une, si ce n’est, la plus malade de Ligue 1.

En déroute totale

En effet, l’ASSE, plus grand club de France, s’est inclinée un but à zéro face au Metz de Vincent Hognon. Signe du destin, c’est celui qui était l’un de nos fidèles défenseurs en Ligue 2 et lors de notre remontée en Ligue 1 (de 2002 à 2007) qui vient s’imposer à Geoffroy-Guichard et ainsi annoncer la crise dans le Forez. Outre cette défaite, ce qui me rend le plus anéanti c’est l’état d’esprit de ce groupe qui a l’air incapable de réagir. Pourtant, intrinsèquement notre effectif fait partie des meilleurs de notre championnat et sûrement le meilleur que l’on est eut depuis de longues années. Nous avons des joueurs de haut-niveau mais ceux-ci n’arrivent pourtant pas à me procurer du plaisir. Comment est-ce possible de si peu vibrer devant chaque rencontre disputée ? Lors des mois de juillet et août, je souhaitais laisser du temps à ces joueurs, à ce staff et à nos présidents, qui avaient pour une fois bien travaillé selon moi lors du mercato estival. Mais à ce jour, après un mois de septembre apathique, ce manque de réaction, ce manque de plan tactique et cet immense manque d’homogénéité entre nos deux présidents me forcent à clamer haut et fort ma douleur.

Une passion qui s’éteint

Oui j’ai mal et oui jusqu’à présent je souffrais en silence. Désormais je n’en peux plus. Même si je n’ai pas connu les pires années de mon club (supporter depuis 2005), j’ai tout de même vécu des passages très compliqués avec plusieurs crises notamment de 2008 à 2010. Deux années sombres où je vibrais pourtant toujours autant pour mon club, où je sentais des équipes motivées, qui souhaitaient s’en sortir. Aujourd’hui, malgré une superbe saison l’année dernière, je ne sens pas ce sentiment de révolte du côté de nos troupes. Comme l’impression que l’on se laisse couler, doucement mais sûrement, et que personne (ou presque) n’a l’air de vraiment s’en soucier. Les joueurs ne font rien pour s’en sortir et leurs discours formatés à chaque début ou fin de match commencent vraiment à m’agacer au plus haut point. Chaque « on va essayer », « on va se remettre au travail », « on va bien se reposer » (M’Vila like this) ou encore « on est qu’à la septième journée » me rendent fou. Nous, simples supporters, sommes dans l’attente chaque saison de vibrer pour le club qu’on aime. Chaque semaine j’attends mon (ou mes) match(s) des Verts pour prendre du plaisir et rêver d’un bon parcours que ça soit en championnat ou en coupe. Même si défaite il y a, si le visage de mon équipe m’a fait plaisir j’aurais des motifs de satisfaction. Aujourd’hui, chaque rencontre me rend aigri. Tous les trois jours je suis obligé de m’agacer pour des joueurs qui n’en valent même pas la peine puisque la plupart ont l’air de royalement se foutre de mon institution. Il est loin le temps où Guilavogui me rendait heureux pour une année entière par le simple biais d’un tweet après une victoire dans cette mascarade qu’est la Coupe de la Ligue. Loin, très loin…

Tous travailler dans le même sens

Évidemment, cela serait une catastrophe industrielle pour de nombreuses personnes travaillant au club de voir l’équipe descendre ou même jouer le maintien. Ce n’est pas ce que les dirigeants souhaitent, cela me paraît assez logique. Mais bord*l, j’ai comme le mauvais sentiment que personne ne souhaite parler, essayer d’avancer ensemble pour que le club fonctionne au mieux. Chacun veut faire à sa sauce et ne pense pas vraiment à ce qu’est le mieux pour notre club (coucou nos deux têtes pensantes). Depuis le peu d’années que je supporte les Verts, les pires passages ont été lorsque nos deux présidents ont dû réellement faire des choix à deux. Nous avons eu la chance d’avoir pendant plusieurs années Christophe Galtier puis pendant un an et demi Jean-Louis Gasset (accompagné d’un très bon Frédéric Paquet) mais pour le reste, cela a souvent été difficile en terme de bonnes décisions. Maintenant, après de trop nombreuses paroles je souhaite des actes, des réponses à cet honteux début de saison. Rien n’est là, tout est à refaire que ça soit dans l’état d’esprit ou dans les choix de notre direction. Faites tous en sortent que notre club soit là où il devrait être et non dans les bas-fonds de cette pauvre Ligue 1.

Nous sommes l’AS Saint-Étienne. Dirigeants, entraîneurs et joueurs vous êtes l’AS Saint-Étienne. Vous vous devez TOUS de réagir pour le bien de l’institution qu’est l’ASSE. Dire que vous en êtes incapables serait mentir, alors BOUGEZ-VOUS. Dans l’espoir que ce cri du coeur arrivent aux oreilles de certains.

Sportivement, Rémi, fervent supporter de l’ASSE.

ALLEZ LES VERTS !

Ligue 1, Ligue 2 : tous les stades de France se recueilleront pour Jacques Chirac

Tout au long du week-end, la France du football rendra hommage à l’ancien président de la République, Jacques Chirac, décédé hier.

Hier, Jacques Chirac, ancien président de la République entre 1995 et 2007, s’est éteint à l’âge de 86 ans. Au même titre que des millions de français, le monde du football va lui rendre hommage. La LFP, Ligue de Football Professionnel, a ainsi décidé qu’une minute de silence serait observée sur tous les terrains de football professionnels et amateurs pour lui rendre hommage.

Voici le communiqué de la LFP. « La Fédération Française de Football a décidé de rendre hommage à Jacques Chirac, décédé hier à l’âge de 86 ans. Cet hommage réunira l’ensemble du football français et ses acteurs, amateurs et professionnels. Une minute de recueillement sera observée à l’occasion de tous les matchs amateurs et professionnels disputés ce week-end. »

L.T.

Batlles ne fera pas le chemin inverse

Batlles ne fera pas le chemin inverse

Arrivé à la tête de l’ESTAC il y a quelques mois, en provenance du Forez où il entraînait l’équipe réserve, Laurent Batlles s’est bien acclimaté en tant que numéro un (Troyes est troisième de Ligue 2). Alors que Ghislain Printant est sur la sellette, l’idée de faire revenir Batlles à Sainté a pu germer dans la tête de certains.

Mais le coach de l’ESTAC dément tout contact avec les dirigeants stéphanois dans L’Est Eclair : « Non, je n’ai pas été contacté. Je suis peiné de la situation de Saint-Étienne, parce que j’ai passé neuf ans là-bas, où résident ma famille et mes amis. Mais aujourd’hui, je me focalise sur ce que je vis ici, où je suis très heureux. Je me consacre à ce qu’il se passe à Troyes, et c’est déjà très prenant. C’est important de bien travailler pour mon club. Je ne suis pas concentré sur ce qu’il se passe ailleurs… ». Un nom de moins sur la liste des prétendants !

ASSE : Robert Herbin ne comprend plus…

L’ancien entraîneur de l’ASSE, Robert Herbin, est revenu pour le Progrès sur la défaite des Verts face au FC Metz, mercredi soir (0-1).

Il y a quelques semaines, au lendemain d’une défaite, Robert Herbin s’était montré plutôt positif quant au contenu proposé par l’ASSE. Il ne se disait pas inquiet et espérait même des lendemains meilleurs. Depuis, les Verts ne mettent toujours pas un pied devant l’autre.

Et du coup, le Sphynx de la grande époque affiche son incompréhension. Notamment depuis la défaite face au FC Metz, mercredi soir, comme il l’explique dans son habituelle chronique pour Le Progrès.

« J’ai du mal à comprendre le comportement de l’équipe. Avec ce but messin encaissé au bout de 18 minutes, ils se sont condamnés eux-mêmes. Par la suite, il n’y a pas eu de réaction. Pire, j’ai senti comme une sorte de renoncement. Aucun joueur n’est sorti du lot. Ils ont tous été dépassés. Ils vivent actuellement une expérience délicate. Le problème est collectif. Il faut rester positif car je suis persuadé qu’ils peuvent faire beaucoup mieux que ce qu’ils montrent actuellement. »

B.D.

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

ASSE : le clan Ruffier sort du silence et met fin à la polémique !

S’il ne s’est finalement pas exprimé sur la polémique autour de sa blessure, Stéphane Ruffier a laissé soin à l’ASSE et à son clan de l’éteindre.

Depuis hier, Stéphane Ruffier se retrouve au cœur d’une polémique à l’AS Saint-Etienne. Victime d’une blessure au petit doigt, le gardien des Verts était accusé par certains d’avoir sciemment organisé son forfait de dernière minute face au FC Metz mercredi (défaite 0-1 avec le jeune Stefan Bajic dans les buts).

Face à ces rumeurs, l’ASSE a allumé un timide contre-feu dans la journée de jeudi en communicant sur la santé de Ruffier. En revanche, aucune mention aux raisons évoquées par « L’Equipe » et notamment aux rumeurs autour de Fabrice Grange, l’entraîneur des gardiens, contesté en interne et défendu par le Bayonnais.

« On ne peut remettre en question son professionnalisme »

Dans les colonnes de « L’Equipe », l’agent de Ruffier, Patrick Glanz est sorti du silence : « Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents », a-t-il ouvert en préambule… Avant de clore sur la polémique :

« Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas ».

Arnaud Carond

L'été vient de se terminer et il s'est passé beaucoup de choses à l'ASSE depuis que les dirigeants ont choisi de promouvoir Ghislain Printant pour succéder à Jean-Louis Gasset sur le banc. Parmi celles-ci, certains décisions ont pu interpeller. Tout d'horizon.

Derby : la billetterie ouverte à tous !

Derby : la billetterie ouverte à tous !

Tarifs 

CATÉGORIES

Tous publics

Étudiants / chômeurs

– 16 ans

-10 ans

PMR / Accompagnateurs

 Carré Légende

 85 € 

76 € 

68 € 

51 €

15 € sur les emplacements PMR proposés

Tribune Henri-Point Centrale

65 €

58 € 

52 € 

39 €
Tribune Henri-Point Latérale 1

 55 € 

49 € 

44 € 

33 €
Tribune Henri-Point Latérale 2

45 €

40 € 

36 € 

27 €
Charles-Paret & Jean-Snella sup.      V34 Aura

35 € 

31 € 

28 € 

21 €
 Kop Sud

20 € 

18 € 

16 € 

12 €

Proposé uniquement au guichet

Points de vente

> au service Billetterie du stade Geoffroy-Guichard, du lundi au vendredi de 9h à 18h.

> à la Boutique des Verts, à côté du stade Geoffroy-Guichard, le samedi de 10h à 19h.

> sur le site de vente en ligne billetterie.asse.fr

> sur l’application officielle.