Le groupe stéphanois pour affronter Wolfsburg

Le groupe stéphanois pour affronter Wolfsburg

Demain soir à 19h, l’ASSE recevra à Geoffroy Guichard le club allemand de Wolfsburg pour son deuxième match d’Europa League. Un match qui s’annonce délicat pour les Verts, dans un contexte de changement d’entraîneur et de manque de confiance lié à la série de contre-performances de l’équipe.

Le groupe

Gardiens de but : Jessy Moulin, Théo Vermot, Stefan Bajic.

Défenseurs : Mathieu Debuchy, Loïc Perrin, Harold Moukoudi, Wiliam Saliba, Timothée Kolodziejczak, Miguel Trauco.

Milieux de terrain : Yann M’Vila, Yohan Cabaye, Zaydou Youssouf, Ryad Boudebouz.

Attaquants : Romain Hamouma, Wahbi Khazri, Denis Bouanga, Arnaud Nordin, Robert Beric, Charles Abi.

#ASSEWOB Le groupe

Gardiens de but

1.Théo VERMOT; 30.Jessy MOULIN; 40.Stefan BAJIC.

Défenseurs

2.Harold MOUKOUDI; 4.William SALIBA; 5.Timothée KOLODZIEJCZAK; 13.Miguel TRAUCO; 24.Loïc PERRIN; 26.Mathieu DEBUCHY.

Milieux de terrain

6.Yann M’VILA; 7.Ryad BOUDEBOUZ; 28.Zaydou YOUSSOUF; 29.Yohan CABAYE.

Attaquants

10.Wahbi KHAZRI; 18.Arnaud NORDIN; 20.Denis BOUANGA; 21.Romain HAMOUMA; 27.Robert BERIC; Charles ABI.

[Bulletin de notes] Une victoire au forceps #NOASSE

[Bulletin de notes] Une victoire au forceps #NOASSE

Les verts se déplaçaient chez les crocos pour tenter de relancer la machine…

Ghislain Printant est toujours sur le banc pour ce match qui semble bien être son dernier sous sa direction, Puel semblant être la piste privilégiée pour le remplacer. Sur le terrain, un 4-4-2 marqué par l’absence de Ruffier et d’un vrai n°9.

Le début du match donne le ton sur la difficulté de se déplacer en terre nîmoise surtout dans la spirale négative qu’est celle de Saint-Etienne en ce moment. Les verts ne parviennent pas à poser le pied sur le ballon et subissent les offensives maladroite des rouge et blanc. L’emblématique Jessy Moulin répond présent et réalise un excellent intérim en l’absence de Stéphane Ruffier. Le portier sauve les meubles et permet à des verts, très faibles dans tout les domaines du jeu, de garder espoir dans cette rencontre. Le retour au vestiaire se fait sur le score quasi-miraculeux de 0-0 mais les nîmois semblent surclasser leurs adversaires.

La seconde période est lancée avec l’entrée de Youssouf qui remplace un Cabaye peu inspiré mais surtout blessé au genou gauche. Les verts semblent montrer un un visage un peu plus encourageant et mettent plus de rythme dans le jeu grâce à la fougue de Youssouf. Cependant, les offensives sont timides et aucune des deux équipes ne semble pouvoir prendre le dessus sur l’autre. Or, c’est sur coup de pied arrêté que la solution va se créer. 68′ minute, Debuchy est trouvé sur corner et délivre le peuple vert. Les nîmois tentent de réagir mais laissent des espaces qui permettent aux verts de contrer.

C’était sans compter sur la faute absurde commise par Hamouma à la 74′ minute au pied du poteau de corner adverse, l’ancien caennais se fait sanctionner d’un second carton jaune, les verts vont devoir finir à 10. Cependant les verts tiennent tant bien que mal et réussissent à s’imposer aux Costières. Une victoire sur le plus petit des scores, dans la souffrance, mais qui fait le plus grand bien au mental. A noter qu’il s’agit ici du premier match sans encaisser de but de la saison pour les stéphanois.

Les notes :

Moulin (9) : Auteur d’un match de très grande classe, le légendaire gardien n°2 de l’ASSE a encore prouvé qu’il était capable de réponde présent quand on a besoin de lui.

Debuchy (7) : Parfois un peu juste défensivement, l’ancien gunner a montré une grande force mentale et s’est finalement montré plus que décisif. Buteur à la 68′ minute, il a aussi sauvé les siens quelques minutes plus tard d’un improbable sauvetage à quelques centimètres des buts stéphanois.

Perrin (5) : Auteur d’une première mi-temps catastrophique, le capitaine stéphanois a su relever la tête en réalisant une second mi-temps de haut vol.

Moukoudi (6) : Solide tout le long du match, l’imposant défenseur central a su faire parler son physique et a été plutôt juste dans ses interventions.

Kolo (3) : L’ancien des Tigres a encore réalisé une prestation très décevante. Il a été martyrisé par le talentueux Zinédine Ferhat durant toute la rencontre et n’a pas su apporter la sérénité qui le caractérisait tant la saison dernière. Sa préparation physique semble insuffisante et il ne semble pas être prêt à disputer des rencontres en tant que titulaire.

M’Vila (4) : Encore une fois, l’international français n’a pas su contrôler l’entre-jeu et n’arrive définitivement pas à montrer la justesse technique qu’il dégageait la saison précédente. Le joueur ne semble pas prêt physiquement à moins que le vrai problème soit plus au niveau du mental tant il semble ne pas se donner à son maximum.

Cabaye (3) : Le dernier arrivant dans le Forez n’a pas réussi à s’imposer au milieu et n’a que très peu apporté à ses coéquipiers. Remplacé à la mi-temps par Youssouf (6) qui a apporté son envie et sa justesse technique au milieu de terrain stéphanois.

Hamouma (1) : Très peu inspiré durant tout le match, le n°21 a laissé ses coéquipiers à 10 en se faisant expulser suite à un premier carton jaune évitable à cause d’une contestation et un second carton jaune à la 76′ minute après une faute absurde au plus loin de la surface stéphanoise.

Khazri (3) : A l’image de M’Vila, le joueur n’est clairement pas prêt sur le plan physique et son envie sur le terrain semble assez faible.

Nordin (5) : Trop juste techniquement, le jeune ailier stéphanois a tout de même été le seul joueur de champs lors de la première mi-temps à montrer un minimum d’envie sur la pelouse.

Bouanga (3) : L’ancien nîmois n’a pas brillé pour son retour au Stade des Costières. L’ailier n’a pas su trouver les espaces et faire les appels nécessaire pour mettre en difficulté la défense des crocos.

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Les notes du miracle des Costières

Les notes du miracle des Costières

Grâce à un Jessy Moulin impérial et malgré le carton rouge reçu par Hamouma en deuxième période, les Stéphanois arrachent les 3 points sur un but de Debuchy et se donnent de l’air avant une semaine chargée (Wolsburg, Lyon).

Les notes

Jessy Moulin (8) : Première titularisation pour l’habituel gardien numéro 2 et première clean sheet de la saison obtenue pour l’ASSE. Bien aidé par le manque de réussite des attaquants nîmois, Moulin a permis à l’équipe de rester en vie tout au long du match grâce à des arrêts sur sa ligne et une solide présence dans sa surface. Homme du match.

Mathieu Debuchy (6) : Après une première période très compliqué dans son couloir, Debuchy est petit à petit revenu dans son match au retour des vestiaires. Le but qu’il inscrit à la 68e permet aux Verts de ramener 3 points inespérés.

Loïc Perrin (4) : A la dérive en première mi-temps, aussi bien dans les duels aérien qu’au sol, Perrin continue d’inquiéter. A l’image de l’équipe il a su hausser son niveau en fin de match mais on sent un joueur fatigué et vieillissant.

Harold Moukoudi (5) : Peu aidé par son capitaine en charnière centrale, l’ancien Havrais a même du s’employer à plusieurs reprises pour rattraper les erreurs de ses coéquipiers. Des conditions peu propices pour un joueur sérieux mais encore en manque de repères.

Timothée Kolodziejczak (4) : Sensiblement meilleur que Debuchy dans ses interventions, Kolodziejczak a manqué de sérennité dans ses interventions et certains de ses dégagements hasardeux auraient pu coûter cher à l’ASSE.

Yohan Cabaye (2) : Dépassé, Cabaye n’a ni réussi à récupérer des ballons dans l’entre-jeu ni à proposer des passes vers l’avant. Son remplacement sur blessure à la mi-temps a permis à l’équipe de gagner en volume de jeu.

Zaydou Youssouf (7) : Entré à la mi-temps à la place de Cabaye, l’ancien bordelais a apporté une réelle fraicheur, capable de récupérer des ballons hauts et de lancer les attaquants en profondeur. Il manque de prêt le 2e but sur une remise d’Abi en fin de match. Un demi-match très prometteur.

Yann M’Vila (3) : Malgré quelques placements défensifs bien sentis, M’Vila a encore une fois flotter au-dessus du match pendant 90min, sans le moindre impact dans le jeu stéphanois. Largement insuffisant pour un joueur de sa trempe.

Denis Bouanga (4) : Volontaire, l’ancien nîmois a tenté plusieurs frappes au cours du match. Malgré l’envie, sa performance reste très timide, à l’image de toute l’équipe.

Romain Hamouma (1) : Contrairement à ses derniers matchs, Hamouma n’a été que le fantôme de lui même aujourd’hui, incapable de récupérer des ballons pour les porter vers l’avant. Il finit par obtenir un carton rouge à la 74e pour un tacle inutile dans la surface adverse et laisse ainsi son équipe à 10 pendant 20 min. Il manquera également le derby la semaine prochaine. Irresponsable.

Arnaud Nordin (6) : Seul joueur à avoir tenté de joueur vers l’avant en première mi-temps, ses qualités de percussions pourraient être davantage mises à profit si l’équipe produisait plus de jeu offensif.

Wahbi Khazri (2) : Nonchalant, imprécis sur coup de pied arrêté, le tunisien ne semblait pas vouloir joueur au foot aujourd’hui. Inexistant en attaque, il n’a pas fait non plus d’efforts défensifs pour aider son équipe.

Remplaçants non notés : Charles Abi a remplacé Khazri à la 78e et a su profiter de ses quelques ballons touchés pour percuter vers l’avant, à l’instar de ce contre à la 87e qui aurait pu se transformer en but avec un peu plus de justesse dans la dernière passe. Nordin a cédé sa place à William Saliba à la 87e, qui marque ainsi son retour sur les terrains, sans que son temps de jeu ne permette d’évaluer sa performance.

Ghislain Printant : Malgré les performances des dernières semaines, Printant a reconduit un onze habituel. La première mi-temps a une nouvelle fois montré l’absence totale de jeu collectif dans cette équipe. Les changements de seconde période ont apporté un peu de qualité à une équipe sensiblement plus conquérante. Si la victoire est miraculeuse, c’est avant tout un immense soulagement pour un entraîneur critiqué de toute part mais dont la valeur humaine et le dévouement ne font pas débat. Printant réalisait probablement aujourd’hui son dernier match sur le banc stéphanois.

JOUR-Ju : une piste que personne n’avait jusqu’alors envisagée.

JOUR-Ju : une piste que personne n’avait jusqu’alors envisagée.

Le match contre Metz aurait pu enrayer cette satanée machine à mauvais résultats mais au lieu de ça, cette nouvelle défaite nous pousse encore un peu plus loin dans la crise. Beaucoup de choses ont été écrites depuis mercredi soir. Mais à l’heure de se déplacer à Nîmes, je me permets d’imaginer une piste que personne n’avait jusqu’alors envisagée.

En ce grave dimanche matin, je suis retombé sur une lettre sacrée (un tweet quoi) datant de vendredi matin. L’AS Saint-Etienne m’annonçait que Stéphane Ruffier venait d’avoir 33 ans. J’ai d’abord eu une réaction somme toute assez classique :
– Oh ma couille !! Bon anniv’ la Ruff’ !
De prime abord donc, je n’ai pas fait le lien mais c’est en me servant un deuxième bol de Chocapic que tout est devenu très clair…
Date de création du club…1933…Ruffier vient d’avoir 33 ans…Nom de dieu l’âge du christ ! Hurlais-je, incapable de réprimer mes cris, ni de mettre des majuscules à ce qui reste pour moi des hypothèses foutrement obsolètes.
A partir de là, tout est allé très vite. Quel âge ont eu Perrin, Debuchy et Cabaye : 33 ans. Outre le fait qu’à un moment il fallait quand même bien se douter qu’ils ne pourraient plus courir comme des gazelles, le nombre 33 était bien encore présent !
Oui mais, si c’est Ghislain Printant le problème, il devrait bien y avoir un lien avec lui aussi. On ne peut pas se trainer une guigne pareille sans avoir heurté les astres à un moment donné. J’ai alors fait des recherches et devinez donc quel âge avait Ghislain Printant le soir du 12 mai 1976 à l’Hampden Park de Glasgow…

– Non ?!

Si, mes biens chers frères, il avait 33 ans.
Mais je suis allé plus loin encore !
Outre le fait que je publie cette chronique un dimanche à 10h (je vous laisse mettre France 2 et me dire ce que vous voyez à l’écran…coïncidence ?), c’est le fruit d’un travail de longue haleine qui m’a définitivement ouvert les yeux et donné envie de répandre la bonne et pourtant si inquiétante parole. Ecoutez-plutôt…
Qu’obtient-on en mélangeant les lettres des noms CAIAZZO et ROMEYER ? Alors, dans un premier temps, pas grand chose sinon CROMAYOZZIERAE. Mais je vous laisse reprendre seulement les premières lettres de leurs noms respectifs : CA-ROM. Paf ! Et qu’est-ce que le carom ? C’est un jeu essentiellement pratiqué par qui ?
Oh putain, on a été ensorcelé par des gitans* ! Nous sommes maudits, c’est le mauvais oeil et c’est tout ! Mais enfin, réveillez-vous ! vous ne comprenez donc pas ?!…

Donc c’est bon, on peut laisser Ghislain sur le banc, ne plus avoir de Directeur Sportif, supporter des gars qui ne savent plus faire une passe sans trébucher et s’accommoder d’avoir deux présidents qui se contredisent jusqu’à plus soif, de toute façon, on ira tous en enfer !

Le match dans le match

Retrouvons un peu de sérieux pour nous pencher sur le match de cet après-midi. Alors bien sûr, sur le papier, le Nîmes Olympique ne devraient pas nous inspirer grande crainte. Oui mais voilà, nous connaissons tous (trop bien) notre niveau actuel, plus que jamais inhérent au mental de nos troupes. Et puisqu’il s’agit de mental, j’ai bien peur qu’un déplacement dans la ferveur du stade des Costières ne soit pas exactement ce qu’il nous faut en ce moment.

Alors, je me garderai bien cette fois-ci de faire le moindre pronostique mais les nîmois restent sur deux victoires consécutives à domicile et possèdent de bonnes individualités. De leur effectif, je ressortirai l’excellent passeur Zinedine Ferhat (2 passes décisives depuis le début de saison). Ce jeune homme sait centrer…et nous ne savons apparemment plus sauter.
De notre côté, nous espérons tous que Denis Bouanga, son pendant sur l’aile de l’attaque stéphanoise, ait dans l’idée de jouer un mauvais tour à ses anciens coéquipiers. N’hésite surtout pas Denis.

La causerie d’avant-match

« Bon, les gars, on reprend tout à zéro. Je vous aime bien. Vous le savez que je vous aime bien ?
Je vous en ai beaucoup voulu…mais il faut savoir pardonner. Et puis l’heure n’est plus aux reproches. On a un match à jouer et à gagner, ensemble. On a une institution à sauver, ensemble.
Je serai sur le banc cet après-midi…au moins cet après-midi. Vous savez, cette situation, je la connais. Beaucoup d’entraineurs sont passés par là. Je l’avais envisagé. Dans ce métier, il faut tout envisager.

Voilà…demain, on ne sait pas, demain, on verra.
Moi, on ne me dit rien. C’est particulier ici quand même… Ce serait Puel. Je le connais un peu Claude Puel…c’est pas un rigolo, les p’tits gars, hein. Pour le dérider, il va falloir au moins lui marcher sur les godasses avec vos crampons !…mais c’est un bon entraineur, un bon technicien.
Il va vous demander plus d’efforts, vous le savez ça ? Avec Laurent et Juju, on a essayé de vous les demander, ces efforts, mais ça n’a pas marché. J’espère qu’il saura vous les demander, lui, de la bonne façon. Jean-Louis savait…

On a discuté cette semaine et je vous ai entendu. J’ai entendu la frustration, la peine et même la honte. Mais je retiens aussi la solidarité, la détermination, l’envie de mieux faire. Il va falloir que les actes prennent plus de place que les mots maintenant.
Pour autant j’avais promis des choix forts et je n’ai qu’une parole. Wahbi, Riyad, Yann, vous ne débuterez pas ce match.
On va repartir sur des bases que tout footballeur connait. Le 4-4-2, mes enfants, on n’a jamais fait mieux pour retrouver son football.

On part donc sur Stefan dans les buts. Une défense à 4 avec Mathieu, Loïc, Harold et Kolo. Et puis un milieu avec Yohan et Youssouf à la récupération, Romain et Denis sur les côtés. Devant, on va jouer avec deux pointes : Robert en attaquant pivot et Charles pour tourner autour de lui. Oui je sais, il n’a pas vingt ans. Puel arrive mes loulous, il va falloir vous habituer. »

* Pas la peine de me tomber dessus, je n’ai rien contre la communauté gitane, c’est pour la blague. Et je sais très bien que le carom est un jeu pratiqué plutôt en Inde, mais alors la vanne ne fonctionnait plus. En plus, je suis sûr que c’est super bon, les hérissons**.
** C’est pour rire, ça va !!

Crédit photo : Icon Sport

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#NOASSE Le groupe

Gardiens de but

1.Théo VERMOT; 30.Jessy MOULIN; 40.Stefan BAJIC.

Défenseurs

2.Harold MOUKOUDI; 4.William SALIBA; 5.Timothée KOLODZIEJCZAK; 13.Miguel TRAUCO; 24.Loïc PERRIN; 26.Mathieu DEBUCHY.

Milieux de terrain

6.Yann M’VILA; 7.Ryad BOUDEBOUZ; 28.Zaydou YOUSSOUF; 29.Yohan CABAYE.

Attaquants

10.Wahbi KHAZRI; 18.Arnaud NORDIN; 20.Denis BOUANGA; 21.Romain HAMOUMA; 27.Robert BERIC; Charles ABI.

#NOASSE : Retour de Jessy Moulin dans le groupe !

#NOASSE : Retour de Jessy Moulin dans le groupe !

Ghislain Printant a fait le choix de ses armes pour une rencontre qui devrait être la dernière du technicien passé par Bastia. Il disposera de Jessy Moulin, remis de sa blessure, tout comme William Saliba.

Gardiens de but

1.Théo VERMOT; 30.Jessy MOULIN; 40.Stefan BAJIC.

Défenseurs

2.Harold MOUKOUDI; 4.William SALIBA; 5.Timothée KOLODZIEJCZAK; 13.Miguel TRAUCO; 24.Loïc PERRIN; 26.Mathieu DEBUCHY.

Milieux de terrain

6.Yann M’VILA; 7.Ryad BOUDEBOUZ; 28.Zaydou YOUSSOUF; 29.Yohan CABAYE.

Attaquants

10.Wahbi KHAZRI; 18.Arnaud NORDIN; 20.Denis BOUANGA; 21.Romain HAMOUMA; 27.Robert BERIC; Charles ABI.

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« Dans notre situation, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y a homme plus idoine que Puel ! »

« Dans notre situation, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y a homme plus idoine que Puel ! »

ALLÔ, DOCTEUR ?! MA FILLE EST TRÈS MALADE !!!!!

« Les grandes passions sont des maladies sans espérance, ce qui pourrait les guérir les rend plus dangereuses encore »  Goethe

Salut les Groupies

En allant au stade mercredi, mon frère #GroLulu me disait : « moi maintenant dans la vie, j’essaye toujours de voir le côté positif des choses ». Bon, j’ai essayé le précepte sur #ASSEFCM, et ben vous savez quoi ??? Ça marche !! Par exemple, ce qu’il y avait de positif dans ce match, c’est que j’ai pu aller pisser à la 40’’ pour éviter l’affluence aux goguenuches, avec l’esprit 100% tranquille, sachant que je ne raterais RIEN. C’est positif ça, non ou bien ?

Mais ça s’arrête là. Car pour le reste, l’enfant est très malade. Le Docteur @JossRandall42 vous livre ci-dessous ses diagnostics, et quelques possibles prescriptions.

Diagnostic #1 – Un début d’atrophie testiculaire et un taux de PDO (Protéine De l’Orgueil) anormalement bas

Après l’humiliation angevine, j’attendais (a minima…) une réaction à base d’orgueil, tout simplement. A la place, j’ai eu du silence. Un silence si profond qu’on entendrait réfléchir un gardien de la paix. Pas de réaction, pas de révolte, même à 0-1, on avait l’impression de voir une équipe verte qui menait 2-0 et qui essayait de protéger le score. Et ça, sincèrement, au-delà des qualités purement footballistiques, tactiques, etc…. ne pas être capables de ce minimum-là, dans notre situation, à domicile, même mon cheval ça le fait hennir (hennit soit qui mal y pense). Parler, ça ils savent. Mais « Cause en Homme, et tu seras entendu des Hommes mon fils ! ».
Prescription : Trouver un marché où il reste des cojones à vendre (y aller tôt le matin). A défaut, tenter le Marabout Africain ou appeler Gérard Majax.

Diagnostic #2 – De sérieux problèmes de transit

Si on doit (vraiment ?) parler foot, on aura noté que l’animation collective de l’équipe, notamment les phases de transit(ion) sont aussi calmes que la vie privée d’un Eunuque. Le passage des phases défensives à offensives sont d’une lenteur affligeante, à force de trop de passes, aussi redoublées que latérales et ‘sécures’. Très peu de décrochages des offensifs pour offrir des solutions. Tant qu’on mettra autant de temps à aller de notre gardien à notre attaquant de pointe, on n’est pas prêts de marquer 3 buts en moyenne par match (ben oui, vu qu’on en prend 2 en moyenne, il faudrait en marquer trois. Autant vous dire qu’on n’est pas sortis des ronces !). De manière plus générale, en dehors de MOBYLETTE_NORDIN et ( curieusement) un peu de MOLLETS_DE_POULE_HAMOUMA, tous nos joueurs sont LENTS. Dans les courses comme dans les gestes. Problème de condition physique ?? (ça va moins ricaner avec l’adjudant de Gendarmerie PUEL_A_TARTE_[DANS_LA_GUEULE]).
Prescription : Travailler à l’entrainement le jeu à une seule touche avec transitions chronométrées. Euh …. « Travailler à l’entrainement ??? » …. Euh …. C’est-à-dire, Docteur ? De quoi est-ce qu’on parle-t-il, là ??!!

Diagnostic #3 – Une défense immunitaire inexistante

Aaaah … en voilà un sujet qu’il est bien. La défense. De Profundis (ou douze, mais j’irai pas plus haut !). Et dire que c’était autrefois un point fort des Verts. 8 matchs, 16 buts encaissés. 2 par match. Propre, quoi. Mais bon, faut dire aussi qu’on a rencontré quasiment que des grosses équipes : Brest, Toulouse, Angers, Metz. Du cador, quoi. Ça fait flipper, hein ? Mais pas très étonnant finalement : WARRIOR_LA_BÛCHE ne dépasse quasiment plus la ligne médiane, mais dans le camp adverse. TROBEAU_TRAUCO défend à 5 mètres et « trottine à côté de » au lieu de défendre (me demande quand même si on s’est finalement pas un peu fait enfler, là, non ??). HAROLD_SERGENT_MOULOUDJI (précédents matchs) travaille d’arrache-pied pour arriver à courir le 100m aussi lentement que CAP’TAIN_FLAM_PERRIN (et il n’est plus très loin de l’objectif), qui lui tente au contraire d’essayer de courir plus vite, mais n’y arrive pas (et n’y arrivera probablement plus). Quant à  KOLODZIEJCZAK_A_DIT, il est resté au Mexique et nous a envoyé un faux-jumeau. On est mal, patron. On est très mal.

Prescription : Aller à St Roch, allumer un énorme cierge en priant pour un retour très rapide de FREE_WILLY_SALIBA, PAS_LANCIA_FLAVIA, SILVA_OH_GABY_FAUT_PAS_M’LAISSER_TOUT_SEUL_LA_NUIT. Et prier aussi pour que ceux qui ne sont pas complètement perdus pour la science se réveillent enfin.

Diagnostic #4 – Le cerveau ne répond plus

Enfin, on le sait, c’est le cerveau qui dirige tout. Et là, le cerveau LINO_GP_VENTURA ne dirige plus rien. Il n’y a pas d’issue, il faut en changer, même si les greffes de cerveau sont les opérations les plus délicates.
Bien qu’il revendique encore son « refus d’abdiquer », qu’il saisit comme un naufragé saisit une bouée, tout le monde a compris que c’est un « coup de pied dans l’eau » (yark !). Car bien sûr que tout le monde a vu que son sens tactique est à l’architecture footballistique moderne ce que la Tour de Pise est au fil à plomb. Et du coup, la vindicte publique s’abat sur lui comme une volée de condors sur le cadavre d’un général de brigade. Pas très juste, dans le fond, mais c’est le jeu Matthieu.
Prescription : en coulisse, ça grenouille fort pour le prochain cerveau. Le donneur est trouvé. Et croyez-moi (et si vous ne me croyez pas, allez-vous faire badigeonner le  grand Zygomatique au mercurochrome), je ne suis pas (du tout, mais alors du tout !!) un grand fan de PUEL_A_TARTE_[DANS_LA_GUEULE]. Mais dans notre situation actuelle, pour bouger nos feignasses, je ne sais pas s’il y avait homme plus idoine que lui. Et puis j’en riffagne d’avance … car j’en vois déjà deux-trois (LA_M’VILAINE, RYAD_AUBOUTDUBOUT, WHABIBENDUM_KHAZRI) qui vont saigner du nez quand il faudra aller courir dans les bois du Bessat à 6 heures du mat en Novembre !! Et puis, ça nous promet aussi des Derby bien préparés, vu que le Glaude, il a pas trop digéré ses XX M€ perdus aux prud’hommes contre PICSOU_JEANMICH’ il y a quelques années !! 🙂 🙂

Vous avez vu j’ai fait plus court, non ? (Note du Boss : « Non ») Alors soyons clairs, que la petite vérole de @Katara420 et LaJupette @Jupra42 arrêtent tout de suite de ricaner, ce n’est pas du tout pour leur faire plaisir! C’est simplement qu’il arrive un moment où les mots manquent quand on attend des actes.
Et BIIIIIIMMM !!!!

Le Cowboy à la radio – #AutoPromo 🙂

Il est très improbable que vous l’ayez raté 🙂 🙂  mais au cas où …. Les retardataires peuvent retrouver les passages du Cowboy sur RMC cette semaine.

Lundi dans l’Afterfoot 100% Sainté :

et en live dans le Grand After de Jeudi :

After Foot RMC : Joss Randall invité à évoquer la crise que traverse l’ASSE !

L’occasion aussi de remercier à nouveau @EDWARDJAY73, @jeyraumeTHOMAS, @gilbertbrisbois et @AfterRMC.
Je me suis bien marré ! On remettra ça.

LA COMPLAINTE DE PIPO & BIMBONINHO … ET DE JEANMICH-LE-RETOUR

Le seul truc qui nous console (un peu) en ce moment c’est de voir qu’à 60km de là, y a également du mou dans la corde à nœuds !! Pas de quoi en tout cas se la peindre en vert pour se la coller au milieu d’un bouquet !!
Et finalement, il y a des trajectoires communes. Fin 2017, L’ami RORO chez nous décide de « prendre du recul » et confier les rênes. On a vu combien de temps ça a tenu. Et moi je vous le dis, mon JeanMich je le connais comme si je l’avais fait. Va pas tenir longtemps à « prendre du recul » lui non plus, avec ses deux brésiliennes qui inquiètent. Il a déjà commencé à donner des signes d’agacement, le JeanMimi, et je ne serai pas surpris outre mesure de le voir très rapidement se remettre à virevolter autour de PIPO & BIMBO-NINHO comme une vieille mouche bleue zonzonne autour des cagoinsses du jardin !!
Décidément, on s’ennuie jamais en Rhône-Alpes !!

Crédit photo : Icon Sport

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L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

L'ASSE défend très timidement Stéphane Ruffier suite aux attaques de l'Equipe

Les faits, seulement les faits. Stéphane Ruffier, blessé au doigt, a joué à Angers handicapé. Forfait face à Metz ce mercredi, Bilel Ghazi a rédigé un article relatant la coulisse de l’ASSE dans lequel il évoque le choix de Ruffier de ne pas jouer ainsi que les tensions qui règnent autour de Fabrice Grange… Alors qu’il était annoncé un communiqué venant à la rescousse du gardien stéphanois, l’ASSE n’est pas rentré dans cette polémique et son agent s’est un peu perdu dans ses explications…

Bilel Ghazi, via L’Equipe, a finalement mis les pieds dans le plat. Via un article publié ce jeudi, il explique que Ruffier, au plus fort de la crise, a préféré écouter sa blessure au doigt plutôt que de serrer une nouvelle fois les dents. Un choix dont il est libre et qui ne peut être discuté. Cependant, le journaliste laissait entrevoir un choix lié aux comportement des coéquipiers en expliquant que le gardien « serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. » Extrait :

L’habituel gardien stéphanois souffrait de sa main gauche depuis que Timothée Kolodziejczak lui était retombé dessus à La Gantoise (2-3), en Ligue Europa le 19 septembre. Après s’être fait strapper les deux derniers doigts de la main gauche sur son gant à Angers (1-4), dimanche, Ruffier a passé hier matin des examens qui ont révélé un trait de fracture du petit doigt. Jessy Moulin, son habituelle doublure, souffre, lui, d’une rupture d’un ligament au niveau du poignet droit. L’absence de Ruffier est aussi à lire dans un contexte particulier en coulisse. Après avoir serré les dents dimanche, le gardien stéphanois n’a pas apprécié l’état d’esprit de son équipe lors de son calvaire en Anjou, et il avait clairement laissé entendre en début de semaine qu’il serait davantage à l’écoute de ses douleurs que des besoins de son équipe cette semaine. Le bilan des examens a donné de la sagesse à sa décision, mais ce qui l’avait initialement motivé traduit une crispation ambiante.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Par ailleurs, Bilel Ghazi révèle les tensions en interne entre l’entraîneur des gardiens Fabrice Grange et certaines personnes au club :

Au-delà des performances de son équipe, Ruffier vit mal de voir Fabrice Grange sous le feu des critiques en interne. Entraîneur des gardiens, ce dernier a pris une place très importante auprès de Ghislain Printant, et son influence sur le technicien est jugée de manière très négative. Grange suscite également une crispation pour des raisons contractuelles. Au moment de la nomination de Printant, les dirigeants avaient acté des contrats de deux saisons pour l’ensemble du staff. Mais Grange était parti négocier, en vain, une troisième année avec Roland Romeyer, l’un des deux propriétaires présidents de l’ASSE, pour ne pas trop lier son avenir à celui de Ruffier, sous contrat jusqu’en juin 2021. Au centre de nombreuses tensions, Grange serait aujourd’hui dans le viseur en interne, au point de rendre son avenir incertain. Tandis que son indisponibilité n’a pas été communiquée par son club, Ruffier percevrait un éventuel départ de Grange comme un point de rupture dans la relation de confiance qui le lie à l’AS Saint-Étienne.

Article paru dans L’Equipe le 26/09/2019

Suite à cela, a été annoncé une communication visant à répondre aux accusations de L’Equipe. Alors qu’on s’attendait à ce que Stéphane Ruffier monte au créneau, c’est le club qui, via un communiqué minimaliste sous forme de certificat médical, indiquait que son gardien était blessé.

Stéphane Ruffier souffre d’une fracture non déplacée de la première phalange de l’auriculaire de la main gauche. La durée de son indisponibilité dépendra de l’évolution de la fracture et de la douleur.

Communiqué de l’ASSE – Source : ASSE.fr

Une communication qui en dit long sur l’envie du club de défendre son gardien. En effet, les dirigeants nous ont habitué à faire plus long et plus argumenté lorsqu’il a s’agit par le passé de défendre l’institution ou l’un de ses membres. Aucun mot sur Fabrice Grange, et pour cause, les informations de Bilel Ghazi au sujet de tensions en interne semblent bien réelles.

C’est finalement Fabrice Glanz, l’agent du joueur, qui a pris la parole :

Hélas, Stéphane souffre d’une triple fissure du petit doigt. Et s’il a pu jouer à Angers, c’est à la grande surprise des médecins. Or, cette fois-ci, la douleur était trop forte. On ne peut remettre en question le professionnalisme d’un gardien qui a joué plus de 350 matches avec Saint-Etienne et parfois en serrant les dents. Vous laissez entendre que sa blessure serait un alibi à son absence, mais qu’en fait, il n’avait pas très envie de jouer. Mais à qui profite le crime ? A ceux, probablement, qui, à travers lui, règlent des comptes en interne. Quant au malaise existant autour de son entraîneur des gardiens Fabrice Grange, sachez que Stéphane et moi ne souhaitons pas du tout entrer dans cette polémique. Elle ne nous concerne pas.

Fabrice Glanz – Source : L’Equipe

Des explications très brouillonnes, jouant sur la théorie du complot interne, qui n’ont certainement pas facilité la communication du gardien stéphanois qui, par le passé, s’était déjà pris les pieds dans le tapis au moment de justifier des moqueries envers un joueur amateur de Raon l’Etape en coupe de France…

Crédit photo : Icon Sport

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Jean-Louis Gasset est la priorité absolue d'une ASSE à la dérive !

Jean-Louis Gasset est la priorité absolue d'une ASSE à la dérive !

L’ASSE souhaite tourner la page Ghislain Printant. Si le coach actuel des Verts n’en dit pas plus sur ses intentions, les dirigeant préparent la suite. C’est Jean-Louis Gasset qui est espéré. Personne d’autre !

La défait d’hier ne fait que renforcer le malaise au club. A tous les étage cela va mal. Les joueurs font tourner en boucle les déclarations mêlées de désolation et de volonté de s’en sortir. Ghislain Printant passe de la colère à l’incompréhension et veut croire en des jours meilleurs. Les dirigeants quant à eux sont en train d’évaluer la pertinence de leurs décisions et cherchent (encore) un plan B permettant d’éteindre l’incendie. D’après nos informations, celui-ci s’appelle jean-Louis Gasset. Il est LA priorité absolue. Tout est bon pour le convaincre. Ce dernier qui a pris sa retraite ne mai dernier s’interroge. Il regretterait notamment que Ghislain Printant se retrouve dans cette situation aujourd’hui. Son fidèle adjoint était pourtant sur les rails en juin dernier, cependant de mauvaises décisions ont peut-être précipité sa chute.

A commencer par un mercato que l’on a peut être vu trop beau. Moukoudi, Trauco, Boudebouz, Youssouf ou Bouanga pour ne parler que d’eux, sont des déceptions. Ils ont certes aligné leur niveau sur celui de l’équipe, mais on s’attendait à davantage de ces recrues. Dans le même temps, Perrin, Ruffier, Khazri, Beric ou encore Kolodziejczak déçoivent. Ils sont loin de leur niveau. Est-ce une surprise ? peut-être pas. Il se murmure des raisons à ce début de saison catastrophique.

Tout d’abord, la qualité des adjoints dont s’est entouré Ghislain Printant. Pas assez expérimentés et possédant trop peu de charisme, Julien Sablé et Laurent Huard sont incapables de tempérer le vestiaire de jouer à fond leur rôle de second et troisième comme l’étaient Printant ou Galtier à leur époque.

Deuxième élément pointé du doigt en interne, le niveau de préparation physique des joueurs. Il est évident qu’il y a un problème athlétique à l’ASSE. Les joueurs sont incapables de jouer à un rythme soutenu durant tout un match. L’enchaînement des rencontres est un cauchemar. Pourtant, Ghislain Printant possède des préparateurs qui sont au club depuis des années. Etonnant…

Dans ce contexte où la gouvernance du club doit également endosser ses responsabilités comme le fait de ne pas avoir associé au coach un directeur sportif fort et un directeur général solide, Jean-Louis Gasset fait encore office de Messie pour remettre de l’ordre dans la maison Verte. Un véritable aveu de faiblesse et la preuve que l’ASSE n’est pas une institution forte.

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