C’est un petite phrase qui traduit beaucoup de choses… Dans les colonnes de l’Equipe du jour, Bernard Lions indique que si Claude Puel ne l’a jamais exprimé publiquement, il a été surpris lors de son arrivée de découvrir un club de « claquettes-peignoirs » à l’Etrat.
Autrement dit, certains joueurs profitaient d’un train-train quotidien très tranquille, et ne se dépensaient que peu à l’entraînement, lorsqu’ils y participaient…
Une situation qui a poussé l’entraîneur à rapidement reprendre les choses en main et qui explique son turnover très fréquent. D’une part, plusieurs joueurs ne sont pas aptes physiquement à enchaîner les matchs. D’autre part, il est nécessaire d’en secouer certains, pour qu’ils sortent de leur zone de confort.
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