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Sur le banc au coup d’envoi, Arnaud Nordin est entré en jeu peu après l’heure de jeu et a rapidement fait la différence, inscrivant le but du break.
Un entrant qui marque, ce n’est désormais plus une exception. Sur les dix-neuf premiers buts de la saison, aucun remplaçant n’avait réussi à faire trembler les filets.
Comme le Progrès le rapporte, trois des six derniers buts (50%) sont l’œuvre d’un joueur remplaçant au coup d’envoi. Une nouveauté qui n’est évidemment pas anecdotique.
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