ASSE : les Girondins, le début de saison, Youssouf… Perrin passe à confesse avant Bordeaux

ASSE : les Girondins, le début de saison, Youssouf… Perrin passe à confesse avant Bordeaux

Ce dimanche, à quelques heures d’affronter les Girondins de Bordeaux avec l’AS Saint-Etienne, Loïc Perrin s’est confié dans les colonnes de Sud-Ouest.

Pour Loïc Perrin, l’affrontement fratricide face aux Girondins de Bordeaux est l’occasion pour l’ASSE de se mesurer à un adversaire qui évolue dans les mêmes eaux que son club : « Paris, Lyon, Marseille, Monaco, Lille sont programmés pour le haut de tableau. Nous, on se bat ensuite avec d’autres comme Rennes et Bordeaux. Les Girondins réalisent un bon début de saison, ils ont des bons joueurs. Comme beaucoup d’équipes, Bordeaux a connu des hauts et

Girondins – ASSE : une dizaine de recruteurs présents à Bordeaux ce dimanche

Girondins – ASSE : une dizaine de recruteurs présents à Bordeaux ce dimanche

Dix émissaires européens sont attendus ce dimanche après-midi (15h) pour assister au match entre les Girondins et l’ASSE.

Même si nous ne sommes qu’en octobre, de nombreux clubs préparent déjà les Mercato à venir. En effet, entre les superviseurs pour les prochains matches et les recruteurs européens, il y aura une dizaine d’émissaires présents au Matmut Atlantique ce dimanche pour la rencontre opposant les Girondins de Bordeaux à l’AS Saint-Etienne.

Sur son site internet, « Girondins4ever » a publié la liste des clubs ayant demandé une place pour leurs émissaires. En France, Amiens, le Stade Rennais, l’AS Monaco et le

U19N : choc sur le Rocher

U19N : choc sur le Rocher

C’est dans la peau du leader que les Verts de Jean-Luc Dogon se rendent en Principauté ce week-end pour un choc au sommet. À une longueur des Stéphanois au classement, l’AS Monaco (4e) compte bien reprendre sa place sur le podium. Mais invaincus depuis quatre rencontres, les Verts ne l’entendent pas de cette oreille. La victoire référence à Nice (0-1) suivie du succès étriqué contre Toulon (1-0) montrent les multiples visages de la formation forézienne qui, sans être

ASSE : Pourquoi signer à St-Etienne ? Puel avoue

ASSE : Pourquoi signer à St-Etienne ? Puel avoue

Très critique envers Ghislain Printant, la direction de l’AS Saint-Etienne n’a pas caché sa fierté suite à la nomination de Claude Puel.

Il faut dire que le club stéphanois pouvait difficilement trouver mieux sur le marché des entraîneurs libres. Passé par Lille, l’AS Monaco, l’Olympique Lyonnais et l’OGC Nice, le nouveau coach des Verts possède une solide expérience de la Ligue 1. Mais aussi du football anglais grâce à ses passages à Southampton et Leicester City. Compte tenu de son CV, Puel ne serait pas resté sans club très longtemps. Le technicien en est sûrement conscient, lui qui a longtemps

Girondins – ASSE : Paulo Sousa réserve une surprise aux Verts

Girondins – ASSE : Paulo Sousa réserve une surprise aux Verts

Paulo Sousa, le coach des Girondins de Bordeaux, a laissé entendre que Youssef Aït-Bennasser pourrait vivre sa première titularisation demain contre l’ASSE.

Présent en conférence de presse, hier, l’entraîneur girondin Paulo Sousa a a évoqué le match de dimanche contre l’ASSE. Une rencontre que Youssef Aït-Bennaser, prêté par l’AS Monaco au FCGB, pourrait débuter, lui qui était stéphanois l’an dernier. « Youssef n’a pas été convoqué par la sélection marocaine suite à une demande conjointe de sa part et du club. Arrivé fin août de Monaco à court de rythme et victime d’une alerte musculaire en

Geoffroy-Guichard, 6e pelouse de France

Geoffroy-Guichard, 6e pelouse de France

Si l’ASSE est à la peine au classement de Ligue 1, le club peut néanmoins se réjouir d’être aujourd’hui doté d’une pelouse de qualité satisfaisante contrairement au gazon d’il y a plusieurs années.

Le classement des pelouses

En effet, d’après le classement des pelouses de la LFP (selon une note donnée par l’arbitre central, le capitaine de chaque équipe ainsi que le réalisateur TV du match), Geoffroy-Guichard dispose de la 6e pelouse de Ligue. Ce classement est là encore dominé par le PSG avec une pelouse notée 19.3/20, suivi d’Amiens (18.6/20), d’Angers (18.4/20), de Brest (18.3/20) puis de Lyon (18.2/20) et enfin de l’ASSE (18/20).

L’AS Monaco (14.6/20) et l’OGC Nice (14.3/20) ferment ce classement.

Claude Puel : la rigueur a un visage

Avec plus de 600 matchs professionnels à son actif en tant que joueur, et plus de 800 en tant qu’entraîneur, Claude Puel semble être l’homme fort et expérimenté dont l’ASSE a besoin pour se relancer. Portrait.
Né dans une terre de rugby, à Castres, au tout début des années 60, Claude Puel baigne rapidement dans le football. Dès l’âge de neuf ans, il intègre l’Etoile Sportive Castraise. Progressant pendant sept ans au sein du club, le jeune Claude quitte alors le cocon pour rejoindre le centre de formation monégasque. Réputé pour sa condition physique, le milieu récupérateur sera l’homme d’un seul club : l’AS Monaco. Disputant plus de 600 matchs avec le club du Rocher, il connaîtra les honneurs de la sélection Espoirs, mais jamais des A, alors que le carré magique français fait parler dans le monde entier. Surtout il remporte deux championnats (1982 et 1988) et une coupe de France (1991). S’il ne participe que peu au succès chipé aux Verts en 1982, avec seulement onze matchs, il est un acteur prépondérant du titre suivant, au milieu d’une équipe all-star (Jean-Luc Ettori, Patrick Battiston, Manuel Amoros, Glenn Hoddle, Omar Da Fonseca ou encore Mark Hatteley) déjà dirigée par Arsène Wenger.

« Un titre dès la première saison »

Achevant cette belle carrière à l’âge de 35 ans, il se plonge immédiatement dans l’apprentissage du métier d’entraîneur. Placé à la tête de l’équipe réserve dès 1996, il devient ensuite l’entraîneur adjoint de Jean Tigana, qui sera licencié en début d’année 1999, lui offrant le siège d’entraîneur principal de l’équipe fanion. Terminant la saison à une honorable quatrième place, le néophyte peut tout de même compter sur l’une des plus belles équipes monégasques des vingt dernières années la saison suivante. Outre les deux champions du monde Fabien Barthez et David Trézéguet, Léonard, Marquez, Sagnol, Riise, Christanval, Gallardo, Giuly, Eloi, Prso et Simone font partie de cet effectif qui remportera le championnat, mais échouera en quart de finale de Coupe UEFA face au Majorque de Diego Tristan et Stankovic. S’en suit un été tumultueux et de nombreux départs, ajoutons à cela l’affaire des faux passeports concernant Contreras, et voilà l’AS Monaco dans la panade en championnat, et éliminé au premier tour de Ligue des Champions. Mis à la porte en fin de saison, il rebondit un an après Lille.

« L’homme à tout faire du LOSC »

Sans doute la plus grande réalisation de du coach castrais jusqu’aujourd’hui. Alors que Michel Seydoux prend en main le club nordiste un an avant, la dynamique insuffler sous l’ère Halilhodzic doit perdurer, et ce dernier s’y attèlera pendant six saisons. Entre analyses vidéo au retour des matchs et participations aux séances d’entraînements, Claude Puel est partout, et amène ses hommes en Ligue des Champions. Décrochant une deuxième place en 2005, les Dogues découvrent le top niveau en 2006, avant d’arracher un huitième de finale face à Manchester en 2007 : une performance unique depuis. Multipliant les bonnes performances, il tape dans l’oeil de l’OL. Un premier échec des négociations en 2005, puis l’intensité des relations entre les clubs des deux frères Jérôme et Michel Seydoux, aboutissent à son arrivée chez le voisin honni durant l’été 2008.

« Un passage à l’OL en demi-teinte »

Il succède à Alain Perrin, parti sur un doublé Coupe-Championnat, et se voit offrir un poste de manager général par Jean-Michel Aulas qui voit en lui « le nouvel Arsène Wenger ». Seul hic, la greffe ne prend pas, et les Lyonnais lâchent leur titre de champion à des Girondins séduisants. L’inter-saison permet de réaliser les arrivées de Michel Bastos, Lisandro Lopez et Bafetimbi Gomis, mais rien n’y fait, les Rhôdaniens ne reprennent pas leur trône. La tension s’accentue alors que pour la première fois de son histoire, le club a atteint les demi-finales de C1, sorti par un Bayern intouchable. C’est alors qu’intervient le premier derby marquant de son histoire, le 100e, perdu à Gerland. Ire des supporters puis menaces à son domicile, et Claude Puel est débarqué par Jean-Michel Aulas, en fin de saison 2010-2011.
Une nouvelle fois, le Castrais doit patienter une saison pour retrouver un banc de touche, se pose sur les bords de la Méditerranée. Bâtisseur dans l’âme, il passe quatre saisons chez les Aiglons. La première souriante, puis deux années plus compliquées, avant de renouer avec les succès lors de son ultime saison, porté par Hatem Ben Arfa et Valère Germain. Malgré la réussite globale, Claude Puel est régulièrement décrié pour avoir poussé ses deux enfants Paulin et Grégoire en Ligue 1, où ils ne s’imposeront jamais.

« L’expérience anglo-saxonne aura duré »

Parti en bon terme avec Jean-Pierre Rivère, il part tenter sa chance Outre-Manche. A Southampton tout d’abord, où il termine la saison huitième, mais en prenant la porte à cause d’un nombre de points insuffisant, un jeu proposé moins spectaculaire, et (surtout?) des relations compliquées avec Dusan Tadic. Adoubé par le milieu anglo-saxon, il ne peine pas à retrouver un banc, puisque dès le mois d’octobre 2017, Leicester le contacte pour remplacer l’infortuné Craig Shakespeare qui avait du prendre la suite de Claudio Ranieri. Là encore, le vestiaire aura raison du coach tarnais, comme il a eu raison du technicien transalpin. En témoigne la sortie récente de Jamie Vardy dans l’Équipe : « On s’entendait bien, mais j’avais l’impression que le rythme de ses entraînements était trop lent, au point que c’était compliqué pour nous d’être rapides et agressifs durant le match. C’était comme si on préparait un marathon et que le jour du match on nous demandait de courir un 100 mètres. » Toutefois, contrairement à certains, Claude Puel aura su tenir à flot les clubs par lesquels il ait passé dans un championnat hyper-compétitif.
Démis de ses fonctions cet hiver, il n’ a certes pas trouvé de banc cet été, mais s’est enfin laissé séduire par le projet stéphanois qu’il intègre dans un rôle de manager général, assisté de Xavier Thuilot en tant que directeur sportif. S’il y a une phrase à retenir pour qualifier Claude Puel tel un bon prof, dur mais juste, c’est celle de Christophe Pignol : « ce n’est pas du tout un dictateur. À Monaco, même s’il m’a envoyé en équipe réserve, il m’a toujours témoigné du respect ». Si l’entraîneur avouait à Lyon Mag avoir changé, il est indéniable que le besoin de compétition l’anime en permanence : « quand j’étais joueur, j’étais intolérant vis-à-vis de mes partenaires : je ne comprenais pas qu’une défaite ne les rende pas malades. Aujourd’hui, j’ai mûri et j’ai compris que tout le monde n’est pas comme moi. »

J13 : À la Beaujoire le dimanche !

L’ASSE se déplacera à Nantes pour le compte de la treizième journée de Ligue 1, le dimanche 10 novembre à 17:00. Les hommes de Claude Puel seront rentrés d’Ukraine quelques jours plus tôt.

Le programme complet :
Vendredi 8 novembre :
20:45 : OGC Nice – Girondins de Bordeaux
Samedi 9 novembre : 
17:30 : Stade Brestois – Paris Saint-Germain 
20:00 : AS Monaco – Dijon FCO            
            RC Strasbourg – Nîmes Olympique            
            LOSC – FC Metz                                      
            Stade de Reims – Angers SCO 
Dimanche 10 novembre :
15:00 : Stade Rennais – Amiens SC
17:00 : Montpellier HSC – Toulouse FC
            FC Nantes – AS Saint-Etienne                   
21:00 :  Olympique de Marseille – Olympique Lyonnais

Du retard à l'allumage pour les Verts

Le début de saison plutôt laborieux de l’ASSE, se reflète bien sûr dans les chiffres. 4 points de moins au compteur après 9 journées disputées. C’est un écart déjà important mais pas encore inquiétant, au regard des performances des autres prétendants à l’Europe. 4 points c’est justement ce qui sépare les Verts de la 4ème place qualificative, occupée par Bordeaux, futur adversaire de l’ASSE !
Le graphique comparatif points présente bien le départ un peu plus poussif de la saison actuelle, l’ASSE ayant fait du surplace avec 2 points récoltés en 6 rencontres ! Par contre, les 2 victoires face à Nîmes et Lyon ont permis un décollage fulgurant avec une tendance identique à la saison dernière. Reste à confirmer à Bordeaux avant les réceptions d’Amiens et Monaco…pas facile tout ça.
Si l’on compare les matchs de la saison actuelle, avec les mêmes matchs de la saison dernière (mêmes clubs, mêmes lieux) l’ASSE accuse actuellement un retard de 3 points, ce qui n’est donc pas vraiment alarmant. 3 points que l’on peut attribués à la défaite inattendue face à Metz. Grace au derby l’on sait déjà que les Verts feront mieux cette saison face au gros du championnat.
Du retard à l'allumage pour les Verts

Mercato : Saint-Etienne a peu investi

Mercato : Saint-Etienne a peu investiSi Saint-Etienne a beaucoup recruté cet été, le club du Forez n’a en revanche pas beaucoup déboursé… C’est ce qui ressort d’une infographie publiée dans le journal l’Equipe ce mercredi. Six clubs de Ligue 1 ont déboursé plus de 40M€ pour renforcer leur équipe cet été. En haut de ce classement alternatif, on retrouve l’AS Monaco qui a dépense 137M€ ! Le Paris Saint-Germain arrive à la seconde place (98M€) et Lyon complète le podium (88M€)

Lille (86M€), Rennes (54M€) et Nice (47M€) n’ont pas non plus lésiné sur les moyens. Marseille a dépensé 25M€ et pour trouver Saint-Etienne, il faut descendre derrière Montpellier et Amiens ! 16M€ déboursés pour renforcer l’équipe. 

Dépenses en transfert des clubs de Ligue 1 :
Monaco > 137M€
Paris SG > 98M€ 
Lyon > 88M€ 
Lille > 86M€ 
Rennes > 54M€ 
Nice > 47M€
Marseille > 25M€ 
Montpellier > 19M€
Amiens > 18M€ 
Saint-Etienne > 16M€ 
Toulouse > 14M€ 
Metz > 11M€ 
Angers > 10M€ 
Reims > 10M€