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En août 2020, Bernard Caïazzo expliquait dans une interview accordée au Progrès que si l’ASSE ne trouvait pas d’investisseurs c’était notamment parce que la ville manquait de prestige, n’était pas assez « attractive ». Des justifications difficiles à entendre aujourd’hui lorsqu’on voit les nombreux acteurs étrangers débarquant en France dans des villes dont l’attractivité reste à prouver.
A ce jour, quinze clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 sont détenus par des fonds étrangers. On peut ajouter que du côté de Lyon, le club est détenu minoritairement (20%) par un groupe chinois. Un phénomène qui tend à s’accélérer avec les récentes reprises de Châteauroux, Troyes, Toulouse ou encore Nancy.
Dans cette période de vache maigre financière, avec un club qui
